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TÜRKEI BEEINFLUSST DIE MIGRATION: SEM ERWARTET IN DIESEM JAHR 30.000 ASYLBEANTRÄGE

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Das Staatssekretariat für Migration (SEM) in der Schweiz geht davon aus, dass sich die Zahl der Asylanträge im Jahr 2024 im Vergleich zum Vorjahr kaum verändern wird. Dafür sind verschiedene Einflussfaktoren entscheidend.

Hauptüberschrift: Einfluss der Migration aus der Türkei

Artikelzusammenfassung:

  • Prognosen zufolge muss die Schweiz in diesem Jahr etwa 30.000 neue Asylanträge bearbeiten.
  • Die Zahl hängt unter anderem von der Migrationsentwicklung von der Türkei nach Griechenland und Bulgarien ab.
  • Für Personen aus der Ukraine werden etwa 25.000 Anträge auf den Schutzstatus S erwartet.

Das Staatssekretariat für Migration (SEM) geht davon aus, dass die Zahl der neuen Asylanträge in diesem Jahr mindestens genauso hoch sein wird wie im Jahr 2023. Das geht aus einer Mitteilung vom Donnerstag hervor. „Das wahrscheinlichste Szenario rechnet mit 30.000 (+/- 3000) neuen Asylanträgen.“ Der Höchststand wird erfahrungsgemäß im Sommer oder Frühherbst erreicht.

Einflussfaktoren: „Die erwartete Zahl neuer Asylanträge im Jahr 2024 hängt wesentlich davon ab, wie sich die Migration von der Türkei nach Griechenland und Bulgarien und die Weiterwanderung Richtung Westeuropa entwickelt“, schreibt das SEM. Ebenso wichtig sei die Entwicklung der Migration über das zentrale Mittelmeer.

Weitere Einflussfaktoren sind der Umfang der Migration aus jenen Staaten, deren Bürgerinnen und Bürger visumsbefreit in den Schengen-Raum einreisen können, sowie die Grenzkontrollmaßnahmen der Nachbarstaaten der Schweiz.

Neue Anträge für Schutzstatus S: Die Zahl der neuen Anträge auf Erteilung des Schutzstatus S für Personen aus der Ukraine dürfte laut Prognosen im Jahr 2024 etwa 25.000 (+/-5000) betragen, sofern sich die Intensität des Krieges in der Ukraine nicht wesentlich verändert. In den letzten Monaten war die Zahl der Personen mit Schutzstatus S, die die Schweiz verlassen haben, etwa gleich hoch wie die Zahl derer, die den Status S beantragt haben. „Die Situation rund um die Schutzsuchenden aus der Ukraine hat sich inzwischen zwar etwas beruhigt, ist jedoch weiterhin mit Herausforderungen für Bund, Kantone, Städte und Gemeinden verbunden.“

Schweizer SVP-Partei kritisiert Asylpolitik und Justizminister Beat Jans

Schweizerische Volkspartei (SVP) hat sowohl das Staatssekretariat für Migration (SEM) als auch den neuen Justizminister Beat Jans (SP) wegen der erwarteten Asylsuchenden kritisiert. Hier ist die Pressemitteilung der SVP: Asyl-Chaos setzt sich fort: 30.000 neue Asylsuchende erwartet.

Trotz des Amtsantritts des neuen Justizministers Beat Jans (SP) setzt sich das Asyl-Chaos fort. Die Kosten steigen, ebenso die Kriminalität. Die SVP fordert verstärkte Grenzkontrollen und lehnt weiteres Asyl für Migranten ab, die aus sicheren Drittstaaten in die Schweiz kommen.

Das Staatssekretariat für Migration (SEM) geht davon aus, dass die Zahl der neuen Asylanträge im Jahr 2024 mindestens so hoch sein wird wie im Jahr 2023. Man erwartet also erneut etwa 30.000 Asylsuchende aus aller Welt in der Schweiz. Das entspricht ungefähr der Bevölkerungszahl der Stadt Zug!

In der heutigen Pressemitteilung erklärt das SEM, dass die Anzahl der Asylanträge „wesentlich“ von der Entwicklung der Migration über die Türkei und „die Weiterwanderung Richtung Westeuropa“ abhänge. Ebenso entscheidend sei die „Entwicklung der Migration über das zentrale Mittelmeer“. Dies zeigt die passive Haltung der verantwortlichen Behörden: Statt zu handeln, schaut man dem „Weiterwandern“ der Asylsuchenden zu, die von kriminellen Schlepperbanden nach Westeuropa gebracht werden.

Die Auswirkungen des Asyl-Chaos tragen die Kantone, Gemeinden und vor allem die Schweizer Bevölkerung. Zehntausende Afrikaner und junge Männer aus muslimischen Ländern kommen als Asylsuchende und bleiben in der Regel hier. Die Kosten und die Kriminalität explodieren. Im Jahr 2021 gab der Bund 1,5 Milliarden Franken für den Asylbereich aus. Im Jahr 2023 waren es bereits 4 Milliarden. Das bedeutet 1.800 Steuerfranken pro 4-Personen-Haushalt! Hinzu kommen die Kosten für Gemeinden und Kantone. Und: Kaum ein Tag vergeht mehr ohne Gewalt- und Sexualdelikte, Einbrüche und Diebstähle.

Die SVP Schweiz fordert den Justizminister Beat Jans auf, das Asyl-Chaos zu beenden und die Vorstöße der SVP zu unterstützen:

  • Kontrollieren der Grenzen, um illegale Migration zu stoppen
  • Kein Asyl mehr für Migranten, die aus sicheren Drittstaaten in die Schweiz kommen
  • Durchführung von Asylverfahren im Ausland
  • Statt Bargeld, Zahlungskarten für Asylsuchende ausgeben

FRANZÖSISCH: LA TURQUIE INFLUE SUR LA MIGRATION: LE SEM ATTEND 30 000 DEMANDES D’ASILE CETTE ANNÉE

Le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) en Suisse s’attend à ce que le nombre de demandes d’asile en 2024 reste peu changé par rapport à l’année précédente. Plusieurs facteurs influents sont déterminants.

L’influence de la migration depuis la Turquie

Selon les prévisions, la Suisse devra traiter environ 30 000 nouvelles demandes d’asile cette année.

  • Ce chiffre dépend, entre autres, du développement de la migration de la Turquie vers la Grèce et la Bulgarie.
  • On s’attend à environ 25 000 demandes pour le statut de protection S pour les personnes venant d’Ukraine.

Le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) estime que le nombre de nouvelles demandes d’asile cette année sera au moins aussi élevé qu’en 2023. C’est ce qui ressort d’un communiqué publié jeudi. „Le scénario le plus probable prévoit environ 30 000 (+/- 3000) nouvelles demandes d’asile.“ Le pic est généralement atteint en été ou au début de l’automne.

Facteurs influents : „Le nombre attendu de nouvelles demandes d’asile en 2024 dépend principalement de l’évolution de la migration de la Turquie vers la Grèce et la Bulgarie et de la poursuite de la migration vers l’Europe de l’Ouest“, écrit le SEM. Tout aussi importante est l’évolution de la migration à travers la mer Méditerranée centrale.

D’autres facteurs influents incluent l’ampleur de la migration depuis les pays dont les citoyens peuvent entrer dans l’espace Schengen sans visa, ainsi que les mesures de contrôle aux frontières des pays voisins de la Suisse.

Nouvelles demandes de statut de protection S : Selon les prévisions, le nombre de nouvelles demandes d’octroi du statut de protection S pour les personnes venant d’Ukraine devrait être d’environ 25 000 (+/- 5000) en 2024, à condition que l’intensité de la guerre en Ukraine ne change pas de manière significative. Au cours des derniers mois, le nombre de personnes bénéficiant du statut de protection S qui ont quitté la Suisse était à peu près équivalent au nombre de celles qui ont demandé le statut S. „La situation des demandeurs d’asile en provenance d’Ukraine s’est quelque peu apaisée, mais reste toujours source de défis pour la Confédération, les cantons, les villes et les communes.“

Parti suisse de l’UDC critique la politique d’asile et le ministre de la Justice Beat Jans

Le Parti suisse du peuple (UDC) a critiqué à la fois le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) et le nouveau ministre de la Justice Beat Jans (SP) en raison des demandeurs d’asile attendus. Voici le communiqué de presse de l’UDC : Le chaos de l’asile persiste : 30 000 nouveaux demandeurs d’asile attendus.

Malgré l’entrée en fonction du nouveau ministre de la Justice Beat Jans (SP), le chaos de l’asile persiste. Les coûts augmentent, tout comme la criminalité. L’UDC demande un renforcement des contrôles aux frontières et rejette toute demande d’asile supplémentaire pour les migrants en provenance de pays tiers sûrs.

Le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) estime que le nombre de nouvelles demandes d’asile en 2024 sera au moins aussi élevé qu’en 2023. On s’attend donc à environ 30 000 demandeurs d’asile du monde entier en Suisse. Cela équivaut à peu près à la population de la ville de Zoug !

Dans le communiqué de presse d’aujourd’hui, le SEM déclare que le nombre de demandes d’asile dépend „essentiellement“ de l’évolution de la migration via la Turquie et de „la migration subséquente vers l’Europe occidentale“. Tout aussi crucial est le „développement de la migration via la mer Méditerranée centrale“. Cela montre l’attitude passive des autorités responsables : au lieu d’agir, on observe la „migration subséquente“ des demandeurs d’asile, qui sont acheminés vers l’Europe occidentale par des réseaux de passeurs criminels.

Les conséquences du chaos de l’asile sont supportées par les cantons, les communes et surtout la population suisse. Des dizaines de milliers d’Africains et de jeunes hommes originaires de pays musulmans viennent en tant que demandeurs d’asile et restent généralement ici. Les coûts et la criminalité explosent. En 2021, la Confédération a dépensé 1,5 milliard de francs pour la région de l’asile. En 2023, ce chiffre était déjà de 4 milliards. Cela représente 1’800 francs d’impôts pour un ménage de 4 personnes ! S’ajoutent les coûts pour les communes et les cantons. Et : À peine un jour ne passe sans violences, délits sexuels, cambriolages et vols.

L’UDC Suisse demande au ministre de la Justice Beat Jans de mettre fin au chaos de l’asile et de soutenir les propositions de l’UDC :

  • Contrôler les frontières pour stopper la migration illégale
  • Plus d’asile pour les migrants en provenance de pays tiers sûrs
  • Effectuer les procédures d’asile à l’étranger
  • Au lieu d’argent liquide, distribuer des cartes de paiement aux demandeurs d’asile

ITALIENISCH: LA TURCHIA INFLUENZA LA MIGRAZIONE: IL SEM PREVEDE 30.000 RICHIESTE DI ASILO QUEST’ANNO

La Segreteria di Stato per la Migrazione (SEM) in Svizzera prevede che nel 2024 il numero di domande di asilo rimanga sostanzialmente invariato rispetto all’anno precedente. A determinare ciò sono diversi fattori influenti.

L’influenza della migrazione dalla Turchia

Secondo le previsioni, la Svizzera dovrà gestire circa 30.000 nuove richieste di asilo quest’anno.

  • Tale cifra dipende, tra l’altro, dallo sviluppo delle migrazioni dalla Turchia verso la Grecia e la Bulgaria.
  • Si prevedono circa 25.000 richieste per lo status di protezione S per le persone provenienti dall’Ucraina.

La Segreteria di Stato per la Migrazione (SEM) ritiene che il numero di nuove richieste di asilo quest’anno sarà almeno altrettanto alto quanto nel 2023. Lo si apprende da un comunicato pubblicato giovedì. „Lo scenario più probabile prevede circa 30.000 (+/- 3000) nuove richieste di asilo.“ Il picco si raggiungerà solitamente in estate o all’inizio dell’autunno.

Fattori influenti: „La prevista quantità di nuove richieste di asilo nel 2024 dipende principalmente dallo sviluppo delle migrazioni dalla Turchia verso la Grecia e la Bulgaria e dalla continuazione della migrazione verso l’Europa occidentale“, scrive il SEM. Altrettanto importante è lo sviluppo delle migrazioni attraverso il Mar Mediterraneo centrale.

Altri fattori influenti includono l’entità delle migrazioni dai paesi i cui cittadini possono entrare nello spazio Schengen senza visto, nonché le misure di controllo delle frontiere dei paesi confinanti con la Svizzera.

Nuove richieste per lo status di protezione S: Secondo le previsioni, il numero di nuove richieste per il riconoscimento dello status di protezione S per le persone provenienti dall’Ucraina dovrebbe essere di circa 25.000 (+/- 5000) nel 2024, a condizione che l’intensità della guerra in Ucraina non cambi in modo significativo. Negli ultimi mesi, il numero di persone con lo status di protezione S che hanno lasciato la Svizzera è stato circa pari al numero di coloro che hanno richiesto lo status S. „La situazione dei richiedenti asilo provenienti dall’Ucraina si è leggermente tranquillizzata, ma continua a presentare sfide per la Confederazione, i cantoni, le città e i comuni.“

Il Partito Popolare Svizzero critica la politica dell’asilo e il ministro della Giustizia Beat Jans

Il Partito Popolare Svizzero (UDC) ha criticato sia il Segretariato di Stato per le migrazioni (SEM) che il nuovo ministro della Giustizia Beat Jans (SP) in merito ai richiedenti asilo attesi. Ecco il comunicato stampa dell’UDC: Il caos dell’asilo persiste: attesi 30.000 nuovi richiedenti asilo.

Nonostante l’insediamento del nuovo ministro della Giustizia Beat Jans (SP), il caos dell’asilo persiste. I costi aumentano, così come la criminalità. L’UDC chiede un rafforzamento dei controlli alle frontiere e respinge qualsiasi ulteriore richiesta di asilo per i migranti provenienti da paesi terzi sicuri.

Il Segretariato di Stato per le migrazioni (SEM) stima che il numero di nuove richieste d’asilo nel 2024 sarà almeno altrettanto elevato del 2023. Ci si aspetta quindi circa 30.000 richiedenti asilo provenienti da tutto il mondo in Svizzera. Questo è approssimativamente equivalente alla popolazione della città di Zugo!

Nel comunicato stampa odierno, il SEM afferma che il numero delle richieste d’asilo dipende „in modo significativo“ dall’evoluzione della migrazione attraverso la Turchia e „la migrazione successiva verso l’Europa occidentale“. Altrettanto cruciale è lo „sviluppo della migrazione attraverso il Mar Mediterraneo centrale“. Ciò mostra l’atteggiamento passivo delle autorità responsabili: anziché agire, si osserva la „migrazione successiva“ dei richiedenti asilo, che vengono trasportati in Europa occidentale da reti criminali di trafficanti.

Le conseguenze del caos dell’asilo sono sostenute dai cantoni, dai comuni e soprattutto dalla popolazione svizzera. Decine di migliaia di africani e giovani uomini provenienti da paesi musulmani vengono come richiedenti asilo e rimangono di solito qui. I costi e la criminalità esplodono. Nel 2021, la Confederazione ha speso 1,5 miliardi di franchi per l’area dell’asilo. Nel 2023, questa cifra era già salita a 4 miliardi. Ciò rappresenta 1’800 franchi fiscali per un nucleo familiare di 4 persone! A ciò si aggiungono i costi per i comuni e i cantoni. E: Passa a malapena un giorno senza violenze, reati sessuali, furti e rapine.

L’UDC Svizzera chiede al ministro della Giustizia Beat Jans di porre fine al caos dell’asilo e di sostenere le proposte dell’UDC:

  • Controllare le frontiere per fermare la migrazione illegale
  • Niente asilo per i migranti provenienti da paesi terzi sicuri
  • Condurre le procedure d’asilo all’estero
  • Invece di denaro contante, distribuire carte di pagamento ai richiedenti asilo
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Sterbehilfe in der Schweiz: 11% Anstieg im Jahr 2023

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„Sterbehilfe in der Schweiz: 11% Anstieg im Jahr 2023, Exit Deutsche Schweiz gewinnt fast 20.000 neue Mitglieder“

Der Verein Exit Deutsche Schweiz gab bekannt, dass im vergangenen Jahr 1252 Mitglieder Sterbehilfe beantragten – ein Anstieg um 11 Prozent im Vergleich zu 2022. Der Verein verzeichnete auch fast 20.000 neue Mitglieder. Ende des letzten Jahres zählte der Verein 167.631 Mitglieder, was einem Zuwachs von 19.679 Menschen im Vergleich zum Vorjahr entspricht. Darüber hinaus machten 92.000 Mitglieder von der Möglichkeit Gebrauch, ihre Patientenverfügung über diese Organisation zu hinterlegen.

Der Anstieg der Nachfrage nach Sterbehilfe ist auf die immer älter werdende Gesellschaft und die damit verbundenen schweren Krankheiten oder Behinderungen zurückzuführen. Das Durchschnittsalter der begleiteten Menschen wurde auf 80,7 Jahre bei Frauen und 79 Jahre bei Männern festgelegt.

Ein weiteres bemerkenswertes Ergebnis der Studie war, dass bei 31 Prozent der Sterbenden eine terminale Krebserkrankung diagnostiziert wurde, was 392 begleiteten Personen entspricht. Es wurde auch darauf hingewiesen, dass immer mehr ältere Menschen mit multiplen Gesundheitsproblemen den selbstbestimmten Tod wählen. Wie im Vorjahr bevorzugten Frauen (759) im Vergleich zu Männern (493) den Freitod.

Exit Deutsche Schweiz, als zentraler Verein für Sterbehilfe in der Schweiz, spielt eine bedeutende Rolle in der ethischen und rechtlichen Unterstützung seiner Mitglieder bei ihrem selbstbestimmten Ende.

En français : „Assistance au suicide en Suisse : Augmentation de 11 % en 2023, Exit Deutsche Schweiz gagne près de 20 000 nouveaux membres“

L’association Exit Deutsche Schweiz a annoncé que l’année dernière, 1252 de ses membres ont demandé une assistance au suicide, soit une augmentation de 11 % par rapport à 2022. L’association a également enregistré près de 20 000 nouveaux membres. À la fin de l’année dernière, l’association comptait 167 631 membres, soit 19 679 de plus par rapport à l’année précédente. En outre, 92 000 membres ont utilisé la possibilité de déposer leur directive anticipée par le biais de cette organisation.

L’augmentation de la demande d’assistance au suicide est attribuée au vieillissement croissant de la société et aux maladies graves ou handicaps qui en résultent. L’âge moyen des personnes accompagnées a été fixé à 80,7 ans pour les femmes et 79 ans pour les hommes.

Un autre résultat notable de l’étude était que 31 % des personnes en fin de vie avaient reçu un diagnostic de cancer terminal, ce qui correspond à 392 accompagnements. On a également souligné que de plus en plus de personnes âgées présentant des problèmes de santé multiples choisissent la mort autodéterminée. Comme l’année précédente, les femmes (759) ont préféré le suicide par rapport aux hommes (493).

Exit Deutsche Schweiz, en tant qu’association centrale pour l’assistance au suicide en Suisse, joue un rôle crucial dans le soutien éthique et juridique de ses membres pour leur fin autodéterminée.

In italiano: „Assistenza al suicidio in Svizzera: Aumento dell’11% nel 2023, Exit Deutsche Schweiz guadagna quasi 20.000 nuovi membri“

L’associazione Exit Deutsche Schweiz ha annunciato che l’anno scorso 1252 dei suoi membri hanno richiesto l’assistenza al suicidio, registrando un aumento dell’11% rispetto al 2022. L’associazione ha anche guadagnato quasi 20.000 nuovi membri. Alla fine dell’anno scorso, l’associazione contava 167.631 membri, il che rappresenta un aumento di 19.679 persone rispetto all’anno precedente. Inoltre, 92.000 membri hanno utilizzato la possibilità di depositare il loro testamento biologico tramite questa organizzazione.

L’aumento della domanda di assistenza al suicidio è attribuito all’invecchiamento sempre maggiore della società e alle gravi malattie o disabilità che ne conseguono. L’età media delle persone accompagnate è stata fissata a 80,7 anni per le donne e 79 anni per gli uomini.

Un altro risultato degno di nota dello studio è che il 31% dei morenti aveva ricevuto una diagnosi di cancro terminale, corrispondente a 392 assistenze. Si è anche sottolineato che sempre più anziani con problemi di salute multipli scelgono la morte autodeterminata. Come l’anno precedente, le donne (759) hanno preferito il suicidio rispetto agli uomini (493).

Exit Deutsche Schweiz, in quanto associazione centrale per l’assistenza al suicidio in Svizzera, svolge un ruolo cruciale nel fornire sostegno etico e legale ai propri membri per la loro fine autodeterminata.

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„Europas neue Sex-Hauptstadt“? Zürich kontert britische Kritik

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Im Blickpunkt: Zürich

Die Stadt Zürich, bekannt für ihre kulturelle Vielfalt und liberale Einstellungen in der Schweiz, steht in den Schlagzeilen der britischen Presse, die sie als „Europas neue Sex-Hauptstadt“ bezeichnet. Die Zeitung „The Sun“ bringt den Anstieg der Sexindustrie in Zürich auf die Titelseiten und behauptet, die Stadt sei die „Europas neue Sex-Hauptstadt“.

Klare Reaktion der Zürcher Behörden

Die Zürcher Behörden reagieren entschieden auf diese Behauptungen und stellen den sozialen und rechtlichen Rahmen ihrer Stadt klar dar. Zürich hat eine lange Geschichte liberaler Sexpolitik und Sicherheitsmaßnahmen. Mit den rechtlichen Bestimmungen und Unterstützungsmechanismen für Sexarbeiterinnen betont Zürich seine soziale Verantwortung und setzt sich entschlossen für diese Anliegen ein.

Aussagen schutzbedürftiger Frauen und der Bericht von Thea Jacobs

Während Sexarbeiterinnen im Gebiet Langstrasse ein alltäglicher Anblick in der Stadt sind, hat der Bericht der britischen Zeitung ‚The Sun‘, in dem Zürich als ‚Europas neue Sex-Hauptstadt‘ bezeichnet wird, lokale Unterstützungspunkte gestört. Die Journalistin Thea Jacobs behauptet, dass schutzbedürftige Frauen von Banden ausgebeutet werden und gibt an, dass Menschenhandel besonders in Langstrasse verbreitet sei. Dabei handelt es sich jedoch nicht um einen legalen Bereich – es existiert keine zugewiesene Strichzone für Sexarbeit, wie sie in ihrem Bericht feststellt.

Die liberale Sexpolitik der Schweiz und die Situation in Zürich

Die Schweiz nimmt eine Position als eines der liberalsten Länder Europas ein, in dem sexuelle Dienstleistungen legal sind. Prostitution, Straßenprostitution, Sex-Saunen und Bordelle werden hier als legale Berufe anerkannt. Die britische Presse behauptet jedoch, dass Zürichs Sexindustrie mehr wert sei als die traditionelle Käseproduktion der Schweiz und verwendet dabei den Begriff „dunkle Seite“. Dies hat die Zürcher Behörden besonders gestört.

Die Bedingungen der Sexarbeiterinnen und Sicherheitsmaßnahmen

Der Bericht von Thea Jacobs konzentriert sich auf die Behauptung, dass schutzbedürftige Frauen unter schwierigen Arbeitsbedingungen leiden und Banden den Weg für illegale Betriebe ebnen. Doch Zürichs Stadtsprecherin Katharina Schorer weist darauf hin, dass die Stadt eine aktive Rolle im Kampf gegen Frauenhandel spielt und verschiedene Regelungen zur Unterstützung erlassen hat.

„Ich lebte in ständiger Angst“ – Die Rufe der Sexarbeiterinnen in Zürich

Thea Jacobs‘ Behauptungen

Gemäß dem eindringlichen Bericht der britischen Journalistin Thea Jacobs werden schutzbedürftige Frauen von Menschenhändlern dazu gezwungen, ihre Körper zu verkaufen und auf den Straßen zu arbeiten. Jacobs hebt hervor, dass der Fokus des Berichts auf Langstrasse liegt, einem Bereich ohne Straßenprostitution, und betont, dass Frauen, die auf den Straßen für Prostitution stehen, nicht als Sexarbeiterinnen bezeichnet werden sollten.

Der Kampf gegen die legale Sexarbeit in Zürich und dessen Folgen

Gemäß Jacobs‘ Behauptungen hat der Kampf gegen die legale Sexarbeit in Zürich den Weg für illegale Betriebe geebnet. Dieser Kampf gegen die gesetzlichen Bestimmungen scheint die Unregelmäßigkeiten in der Sexindustrie Zürichs verstärkt zu haben.

Aussagen der Sexarbeiterinnen

Die Journalistin hat sich in ihrem Bericht mit Sexarbeiterinnen getroffen, die über die schrecklichen Arbeitsbedingungen klagen. Eine Frau namens Elisa teilt ihre Qualen und Ängste: „Wenn ein Kunde Gewalt anwendet, war mein Handy immer bei mir. Von hundert Kunden zeigte vielleicht einer ein wenig Respekt. Nach einer Weile lebte ich regelrecht in einem Albtraum.“ Andere Sexarbeiterinnen berichten von perversen Männern mit animalischen Trieben oder Vätern, die mit ihren Söhnen kommen.

Der ökonomische und soziale Kontext Zürichs

Laut Katharina Schorer, der Sprecherin des Sicherheitsdepartements von Zürich, spielt die Stadt eine aktive Rolle im Kampf gegen den Frauenhandel und bewertet die Situation in der Stadt ständig neu. Die Stadt betreibt das Beratungszentrum Flora Dora, um Unterstützung für Sexarbeiterinnen in der Straßenprostitution oder im Escortbereich in Zusammenarbeit mit verschiedenen NGOs zu bieten.

Der ökonomische Beitrag der Sexindustrie und die allgemeine Situation

Beatrice Bänninger, Leiterin des Fachzentrums „Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter Solidara“, hält den Bericht der Sun für problematisch. Sie betont, dass Zürich keine neue Sex-Hauptstadt ist und dass die Sexindustrie nur 0,5% des Bruttoinlandsprodukts des Landes ausmacht. Bänninger erklärt, dass der Bericht ein veraltetes und einseitiges Bild zeichnet und Verallgemeinerungen ungerecht sind.

Fazit und zukünftige Schritte

In diesem Sinne widerspricht Bänninger der Verallgemeinerung, dass Sexarbeiterinnen Opfer sind, und erklärt, dass viele Menschen freiwillig in dieser legalen Branche arbeiten und gegen ungerechtfertigte Anschuldigungen kämpfen müssen. Zürich setzt sich mit einem starken Standpunkt gegen die Vorwürfe ein und bemüht sich weiterhin, die wahre Situation der Stadt darzustellen.


Französisch: „Nouvelle capitale européenne du sexe“ ? Zurich répond aux critiques britanniques

En lumière : Zurich

La ville de Zurich, connue pour sa diversité culturelle et ses attitudes libérales en Suisse, fait la une de la presse britannique, qui la qualifie de „nouvelle capitale européenne du sexe“. Le journal „The Sun“ place l’essor de l’industrie du sexe à Zurich en première page et affirme que la ville est la „nouvelle capitale européenne du sexe“.

Réponse claire des autorités zurichoises

Cependant, les autorités zurichoises réagissent vivement à ces allégations et présentent clairement le cadre social et légal de leur ville. Zurich a une longue histoire de politique sexuelle libérale et de mesures de sécurité. Avec les dispositions légales et les mécanismes de soutien pour les travailleurs du sexe, Zurich souligne sa responsabilité sociale et s’engage résolument en faveur de ces questions.

Déclarations de femmes vulnérables et rapport de Thea Jacobs

Bien que les travailleurs du sexe dans le quartier de Langstrasse soient une vue quotidienne dans la ville, le rapport du journal britannique „The Sun“, qui qualifie Zurich de „nouvelle capitale européenne du sexe“, a perturbé les points de soutien locaux. La journaliste Thea Jacobs affirme que des femmes vulnérables sont exploitées par des gangs et déclare que la traite des êtres humains est particulièrement répandue à Langstrasse. Cependant, il ne s’agit pas d’une zone légale pour le travail du sexe.

La politique sexuelle libérale de la Suisse et la situation à Zurich

La Suisse occupe une position parmi les pays les plus libéraux d’Europe, où les services sexuels sont légaux. La prostitution, la prostitution de rue, les saunas sexuels et les bordels sont reconnus comme des professions légales. Cependant, la presse britannique affirme que l’industrie du sexe à Zurich vaut plus que la production traditionnelle de fromage suisse, utilisant le terme „côté sombre“. Cela a particulièrement contrarié les autorités zurichoises.

Conditions des travailleurs du sexe et mesures de sécurité

Le rapport de Thea Jacobs met l’accent sur l’affirmation selon laquelle des femmes vulnérables souffrent de conditions de travail difficiles et que des gangs ouvrent la voie à des entreprises illégales. Cependant, la porte-parole de la ville de Zurich, Katharina Schorer, souligne que la ville joue un rôle actif dans la lutte contre la traite des femmes et a mis en place diverses réglementations de soutien.

„Je vivais dans une peur constante“ – Les cris des travailleurs du sexe à Zurich

Les allégations de Thea Jacobs

Selon le rapport percutant de la journaliste britannique Thea Jacobs, des femmes vulnérables sont contraintes par des trafiquants à vendre leur corps et à travailler dans les rues. Jacobs souligne que le rapport se concentre sur Langstrasse, une zone sans prostitution de rue, et insiste sur le fait que les femmes qui se tiennent dans les rues pour se prostituer ne devraient pas être appelées travailleuses du sexe.

Lutte contre le travail sexuel légal à Zurich et ses conséquences

Selon les affirmations de Jacobs, la lutte contre le travail sexuel légal à Zurich a ouvert la voie à des entreprises illégales. Cette lutte contre les dispositions légales semble avoir renforcé les irrégularités dans l’industrie du sexe à Zurich.

Témoignages des travailleurs du sexe

La journaliste a rencontré des travailleurs du sexe qui se plaignent des conditions de travail épouvantables. Une femme nommée Elisa partage ses souffrances et ses peurs : „Si un client fait preuve de violence, mon téléphone était toujours avec moi. Parmi cent clients, peut-être un montrait un peu de respect. Au bout d’un moment, je vivais littéralement dans un cauchemar.“ D’autres travailleurs du sexe parlent d’hommes pervers aux pulsions animales ou de pères venant avec leurs fils.

Contexte économique et social de Zurich

Selon Katharina Schorer, porte-parole du département de la sécurité de Zurich, la ville joue un rôle actif dans la lutte contre la traite des femmes et évalue constamment la situation dans la ville. La ville gère le centre de conseil Flora Dora pour fournir un soutien aux travailleurs du sexe dans la prostitution de rue ou dans le secteur de l’escorte en collaboration avec diverses ONG.

Contribution économique de l’industrie du sexe et situation générale

Beatrice Bänninger, directrice du centre d’expertise „Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter Solidara“, juge le rapport du Sun problématique. Elle souligne que Zurich n’est pas une nouvelle capitale du sexe et que l’industrie du sexe ne représente que 0,5 % du produit intérieur brut du pays. Bänninger explique que le rapport donne une image obsolète et unilatérale et que les généralisations sont injustes.

Conclusion et prochaines étapes

Dans ce sens, Bänninger conteste la généralisation selon laquelle les travailleurs du sexe sont des victimes et explique que de nombreuses personnes travaillent volontairement dans ce secteur légal et doivent lutter contre des accusations infondées. Zurich défend fermement sa position contre les accusations et continue de s’efforcer de présenter la véritable situation de la ville.


Italienisch: „Nuova capitale europea del sesso“? Zurigo risponde alle critiche britanniche

In primo piano: Zurigo

La città di Zurigo, nota per la sua diversità culturale e le posizioni liberali in Svizzera, è sotto i riflettori della stampa britannica che la definisce „la nuova capitale europea del sesso“. Il giornale „The Sun“ mette in prima pagina la crescita dell’industria del sesso a Zurigo, sostenendo che la città sia la „nuova capitale europea del sesso“.

Risposta chiara delle autorità zurighesi

Le autorità di Zurigo reagiscono con decisione a queste affermazioni, presentando chiaramente il quadro sociale e legale della loro città. Zurigo vanta una lunga storia di politiche sessuali liberali e misure di sicurezza. Con le disposizioni legali e i meccanismi di sostegno per le sex worker, Zurigo sottolinea la sua responsabilità sociale e si impegna con determinazione per queste questioni.

Dichiarazioni di donne vulnerabili e il rapporto di Thea Jacobs

Nonostante le sex worker nell’area di Langstrasse siano una vista quotidiana in città, il rapporto del giornale britannico „The Sun“ che definisce Zurigo la „nuova capitale europea del sesso“ ha disturbato i punti di supporto locali. La giornalista Thea Jacobs sostiene che le donne vulnerabili sono sfruttate da bande criminali e afferma che il traffico di esseri umani è particolarmente diffuso a Langstrasse. Tuttavia, questa zona non è designata come un’area legale per il lavoro sessuale.

La politica sessuale liberale della Svizzera e la situazione a Zurigo

La Svizzera occupa una posizione tra i paesi più liberali d’Europa, dove i servizi sessuali sono legali. La prostituzione, la prostituzione di strada, le saune sessuali e i bordelli sono riconosciuti come professioni legali. Tuttavia, la stampa britannica afferma che l’industria del sesso a Zurigo vale più della produzione tradizionale di formaggio svizzero, utilizzando il termine „lato oscuro“. Questo ha particolarmente infastidito le autorità di Zurigo.

Condizioni delle sex worker e misure di sicurezza

Il rapporto di Thea Jacobs si concentra sull’affermazione che le donne vulnerabili soffrono di condizioni di lavoro difficili e che le bande aprono la strada a imprese illegali. Tuttavia, la portavoce di Zurigo, Katharina Schorer, sottolinea che la città svolge un ruolo attivo nella lotta contro il traffico di donne e ha introdotto varie normative a sostegno.

„Vivevo in una paura costante“ – Le grida delle sex worker a Zurigo

Le affermazioni di Thea Jacobs

Secondo il rapporto incisivo della giornalista britannica Thea Jacobs, le donne vulnerabili sono costrette dai trafficanti a vendere i loro corpi e a lavorare per strada. Jacobs sottolinea che il focus del rapporto è su Langstrasse, un’area senza prostituzione di strada, e insiste sul fatto che le donne che lavorano per strada non dovrebbero essere chiamate sex worker.

Lotta contro il lavoro sessuale legale a Zurigo e le sue conseguenze

Secondo le affermazioni di Jacobs, la lotta contro il lavoro sessuale legale a Zurigo ha aperto la strada a imprese illegali. Questa lotta contro le disposizioni legali sembra aver rafforzato le irregolarità nell’industria del sesso a Zurigo.

Dichiarazioni delle sex worker

La giornalista ha incontrato sex worker che si lamentano delle terribili condizioni di lavoro. Una donna di nome Elisa condivide le sue sofferenze e le sue paure: „Se un cliente usava la violenza, il mio telefono era sempre con me. Tra cento clienti, forse uno mostrava un po‘ di rispetto. Dopo un po‘, vivevo letteralmente in un incubo.“ Altre sex worker parlano di uomini perversi con pulsioni animali o di padri che arrivano con i loro figli.

Contesto economico e sociale di Zurigo

Secondo Katharina Schorer, portavoce del dipartimento della sicurezza di Zurigo, la città svolge un ruolo attivo nella lotta contro il traffico di donne e valuta costantemente la situazione nella città. La città gestisce il centro di consulenza Flora Dora per fornire supporto alle sex worker nella prostituzione di strada o nel settore dell’accompagnamento in collaborazione con varie ONG.

Contributo economico dell’industria del sesso e situazione generale

Beatrice Bänninger, direttrice del centro di competenza „Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter Solidara“, ritiene il rapporto del Sun problematico. Sottolinea che Zurigo non è una nuova capitale del sesso e che l’industria del sesso rappresenta solo lo 0,5% del prodotto interno lordo del paese. Bänninger spiega che il rapporto dipinge un’immagine datata e unilaterale e che le generalizzazioni sono ingiuste.

Conclusione e prossimi passi

In questo contesto, Bänninger contesta la generalizzazione secondo cui le sex worker sono vittime e spiega che molte persone lavorano volontariamente in questo settore legale e devono combattere contro accuse infondate. Zurigo difende fermamente la propria posizione contro le accuse e continua ad impegnarsi per presentare la vera situazione della città.

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WOZ-Mitarbeiter mit sexuellen Belästigungsvorwürfen konfrontiert

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WOZ-Mitarbeiter mit sexuellen Belästigungsvorwürfen konfrontiert Interne Regeln unzureichend! Untersuchung durch Juristin offenbart Schutzlücken für Angestellte

In Zürich ansässige Wochenzeitung (WOZ) sieht sich mit Anschuldigungen konfrontiert, wonach ein ehemaliger Mitarbeiter, während seiner Tätigkeit auf der Plattform „Republik“, mehrere Frauen sexuell belästigt haben soll. Nach Bekanntwerden hat die WOZ eine juristische Untersuchung in Auftrag gegeben.

Die unabhängige Untersuchung durch eine Juristin ergab, dass interne Regeln nicht ausreichend waren, um die Angestellten adäquat zu schützen. Es wurde festgestellt, dass der betreffende Journalist bis 2018 bei der WOZ beschäftigt war und später auf der „Republik“-Plattform ähnliche Vorwürfe sexueller Belästigung gegen sich hatte.

Die Vorfälle wurden am 24. August 2023 während der Radio-SRF-4-Sendung öffentlich gemacht. In Reaktion auf die Vorwürfe hat die WOZ eine unabhängige Untersuchung durch eine Juristin eingeleitet und den Mitarbeitern eine vertrauliche Meldestelle für „Verletzungen der persönlichen Integrität“ seit 2005 bis heute zur Verfügung gestellt.

Insgesamt wurden achtzehn Meldungen eingereicht, die größtenteils mit den öffentlich gemachten Vorwürfen übereinstimmten. Die Juristin empfiehlt eine Aufarbeitung der vergangenen Vorfälle sowie zusätzliche betriebliche Maßnahmen zum Schutz der persönlichen Integrität der Mitarbeiter.

Die Untersuchung zeigt, dass interne Regeln nicht ausreichend waren, um Verletzungen der persönlichen Integrität zu verhindern. Die WOZ plant die Einrichtung einer externen Meldestelle sowie Schulungen und Präventionsmaßnahmen. Zusätzlich entschuldigt sich die WOZ bei den Betroffenen, vor allem für die erlebte psychische Belastung und dafür, dass der Betrieb keine vertrauensvolle Unterstützung gewährleisten konnte.

Nach diesen Entwicklungen hat die WOZ zugesagt, die Vergangenheit aufzuarbeiten und weitere Maßnahmen zum Schutz der Mitarbeiter zu ergreifen.

Französisch: Employé de la WOZ accusé de harcèlement sexuel : Les règles internes jugées insuffisantes ! L’enquête d’un juriste révèle des lacunes dans la protection des employés

La semaine dernière, un ancien employé de la WOZ (Wochenzeitung), basé à Zurich, a été accusé d’avoir harcelé sexuellement plusieurs femmes lorsqu’il travaillait ultérieurement sur la plateforme „Republik“. Suite à ces révélations, la WOZ a mandaté un juriste pour mener une enquête approfondie.

L’examen indépendant effectué par le juriste a révélé que les règles internes n’étaient pas suffisantes pour protéger adéquatement les employés. Il a été mentionné que le journaliste en question avait travaillé à la WOZ jusqu’en 2018, puis avait été confronté à des accusations similaires de harcèlement sexuel lors de son emploi ultérieur à „Republik“.

Les faits ont été rendus publics le 24 août 2023 lors de l’émission Radio-SRF-4. En réponse aux accusations, la WOZ a lancé une enquête indépendante menée par un juriste et a mis en place un mécanisme confidentiel permettant aux employés de signaler des „atteintes à l’intégrité personnelle“ depuis 2005 jusqu’à aujourd’hui.

Au total, dix-huit signalements ont été enregistrés, correspondant en grande partie aux accusations rendues publiques. Le rapport du juriste recommande un examen des incidents passés ainsi que des mesures opérationnelles supplémentaires pour protéger l’intégrité personnelle des employés.

L’enquête révèle que les règles internes étaient insuffisantes pour prévenir les atteintes à l’intégrité personnelle. La WOZ envisage la création d’un mécanisme externe de signalement ainsi que des formations et des mesures de prévention. De plus, la WOZ présente des excuses aux personnes concernées, notamment pour la détresse psychologique subie et le manque de soutien fiable de l’entreprise.

Suite à ces développements, la WOZ s’est engagée à examiner le passé et à prendre des mesures supplémentaires pour protéger ses employés.


Italienisch: Dipendente della WOZ accusato di molestie sessuali: Regole interne ritenute insufficienti! L’indagine di un giurista rivela lacune nella protezione dei dipendenti

La scorsa settimana, un ex dipendente della WOZ (Wochenzeitung), con sede a Zurigo, è stato accusato di aver molestato sessualmente diverse donne durante il suo successivo impiego sulla piattaforma „Republik“. In seguito a queste rivelazioni, la WOZ ha incaricato un giurista di condurre un’indagine approfondita.

L’indagine indipendente condotta dal giurista ha rivelato che le regole interne non erano sufficienti per proteggere adeguatamente i dipendenti. Si è menzionato che il giornalista in questione aveva lavorato alla WOZ fino al 2018, poi aveva affrontato accuse simili di molestie sessuali durante il suo impiego successivo presso „Republik“.

Gli eventi sono stati resi pubblici il 24 agosto 2023 durante il programma Radio-SRF-4. In risposta alle accuse, la WOZ ha avviato un’indagine indipendente condotta da un giurista e ha istituito un meccanismo confidenziale che consente ai dipendenti di segnalare „violazioni dell’integrità personale“ dal 2005 fino ad oggi.

In totale sono stati registrati diciotto segnalazioni, in gran parte corrispondenti alle accuse rese pubbliche. La relazione del giurista raccomanda una revisione degli incidenti passati e ulteriori misure operative per proteggere l’integrità personale dei dipendenti.

L’indagine rivela che le regole interne erano insufficienti per prevenire le violazioni dell’integrità personale. La WOZ prevede di istituire un meccanismo esterno di segnalazione, nonché formazioni e misure preventive. Inoltre, la WOZ presenta scuse alle persone coinvolte, in particolare per lo stress psicologico subito e per la mancanza di un sostegno affidabile da parte dell’azienda.

A seguito di questi sviluppi, la WOZ si è impegnata a esaminare il passato e ad adottare ulteriori misure per proteggere i propri dipendenti.

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