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Selbst eine 20-Rappen-Banane in Rechnung gestellt

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Enthüllung durch SRF Kassensturz: Regierungsmitglieder des Kantons Bern rechnen kleinste Beträge ab

BERN – Cemil Baysal / Obwohl die Mitglieder der Regierung des Kantons Bern ein Jahresgehalt von rund 280.000 Franken und monatlich fast 22.000 Schweizer Franken beziehen, neigen sie dazu, kleine Beträge abzurechnen. Die Untersuchungen von SRF Kassensturz haben aufgedeckt, dass Philippe Müller, der Direktor für Sicherheit, seit 2018 im Amt ist und bisher mehr als 1,3 Millionen Franken verdient hat. Zusätzlich zu seinem Gehalt erhält er eine Pauschale von 8000 Franken pro Jahr für zusätzliche Ausgaben.

Verdächtige Essensausgaben:

Die Regierungsmitglieder laden Gäste aus Wirtschaft und Politik zu Konferenzen ein und rechnen gelegentlich kleinste Beträge ab, wie zum Beispiel 95 Rappen für ein Bio-Mehrkornbrötchen oder 20 Rappen für eine Banane, die als „Essensausgaben“ im Namen des Kantons Bern verbucht werden. SRF Kassensturz hat auch aufgedeckt, dass Philippe Müller für „Laugenbretzeli mit Butter“ (Laugenbrezel mit Butter) 3,20 Franken abgerechnet hat und dies als Kosten für eine kurze Pause dokumentiert hat.

Kritik an den Ausgaben:

Daniel Wyrsch, Mitglied des Berner Staatspersonalverbands und der SP, kritisiert die Abrechnung solcher kleiner Beträge: „Bei einem Jahresbruttoeinkommen von knapp 280.000 Franken finde ich das sehr kleinlich und peinlich. Kantonsmitarbeitende können das nicht abrechnen. Jeder nimmt sein Mittagessen selbst mit.“ Der Professor für Public Management an der Universität St. Gallen, Kuno Schedler, findet solche kleinen Ausgaben fragwürdig und stellt die Frage: „Wenn jemand 20 Rappen ausreizt, was reizt er sonst noch aus?“ Sicherheitsdirektor Philippe Müller äußert sich nicht zu seinen Ausgaben.

Anfrage nach Privatsphäre und Ergebnis:

„Kassensturz“ hat mit Verweis auf das im Kanton Bern verankerte verfassungsmäßige Transparenzprinzip Einsicht in die Ausgabenbelege der Regierungsmitglieder des Kantons Bern von 2018 bis 2021 gefordert. Die Staatskanzlei des Kantons Bern hat dies jedoch mit der Begründung abgelehnt, dass die Herausgabe der Quittungen für vier Jahre unverhältnismäßig teuer sei und der Inhalt zu heikel sei, da die Belege Informationen enthalten könnten, die teilweise den persönlichen Geheimbereich betreffen.

Entscheidung und Veröffentlichung:

„Kassensturz“ hat gegen diese Entscheidung Beschwerde eingelegt. Das Verwaltungsgericht des Kantons Bern änderte jedoch seine Meinung, bevor es über den Fall entscheiden konnte, und gab die Ausgabenquittungen und Abrechnungen von 2018 bis 2021 heraus. Insgesamt 300 Seiten, einschließlich Repräsentationsausgaben.

Ausgaben und Repräsentationsausgaben der Regierungsmitglieder:

Die Unterlagen zeigen, dass insbesondere Sicherheitsdirektor Philippe Müller (FDP), Wirtschaftsdirektor Christoph Ammann (SP) und Gesundheitsdirektor Pierre Alain Schnegg (SVP) Gäste aus Wirtschaft und Politik zu Essen einladen.

Welche Politiker geben am meisten aus?

Gemäß den Recherchen von SRF Kassensturz neigen Regierungsmitglieder des Kantons Bern dazu, kleine Beträge abzurechnen oder Gäste aus der Wirtschaft und Politik zum Essen einzuladen.

Welche Politiker geben weniger aus?

Laut den Recherchen gibt es unter den Mitgliedern der Regierung des Kantons Bern Frauen, die im Vergleich zu Männern weniger für Ausgaben und Repräsentation abrechnen.

Reaktion der Regierung des Kantons Bern:

Reto Wüthrich, Pressesprecher der Berner Regierung, betont, dass alles gesetzeskonform ist: „Die abgerechneten Ausgaben sind normal und gerechtfertigt für ein Mitglied der Regierung. Das Fakturieren solcher offiziellen Ausgaben an den Staat durch Regierungsmitglieder entspricht den geltenden gesetzlichen Bestimmungen.“

Stellungnahme der betroffenen Regierungsmitglieder:

Keines der genannten Regierungsmitglieder wollte Stellung zu den Ausgabenbelegen und Repräsentationsausgaben nehmen, die von „Kassensturz“ veröffentlicht wurden.

SRF Beitrag Kassensturz

Französisch: Même une banane à 20 centimes a été facturée


Révélations par le programme SRF Kassensturz : Les membres du gouvernement de l’État de Berne facturent même de petites dépenses

BERNE – Les membres du gouvernement de l’État de Berne ont tendance à facturer de petites dépenses, malgré un salaire mensuel d’environ 280 000 francs suisses, soit près de 22 000 francs suisses par an. Le directeur de la sécurité, Philippe Müller, est en poste depuis 2018 et a gagné plus de 1,3 million de francs jusqu’à présent. Il reçoit également un forfait de dépenses de 8 000 francs par an.

Détails suspects dans les frais de repas :

Ils facturent occasionnellement de petites sommes, telles que des repas pour des invités du monde économique et politique, tels qu’un pain complet biologique coûtant parfois 95 centimes (environ 1 franc) et une banane coûtant 20 centimes, au nom du canton de Berne. De plus, selon les documents, il a également facturé 3,20 francs pour un „Laugenbretzeli mit Butter“ (bretzel salé au beurre), documentant cela comme des frais de collation pour ses neuf pauses.

Daniel Wyrsch, membre de l’Union du personnel de l’État de Berne et du SP, critique la facturation de telles petites sommes : „Avec un revenu brut de près de 280 000 francs par an, je trouve cela très petit et honteux. Les employés du canton ne peuvent pas facturer cela. Chacun fait sa propre recherche pour le déjeuner.“ De plus, Kuno Schedler, professeur d’administration publique à l’Université de Saint-Gall, souligne que de tels petits frais sont suspects : „Le coût de traitement est déjà compris entre 25 et 30 francs. Et la question est : si quelqu’un utilise 20 centimes, qu’utilise-t-il d’autre ?“ Le directeur de la sécurité, Philippe Müller, ne fait aucun commentaire sur ses dépenses.

Demande de confidentialité et résultat :

Faisant référence au principe de transparence constitutionnellement garanti dans le canton de Berne, „Kassensturz“ a demandé l’accès aux documents sur les dépenses des membres du gouvernement de l’État de Berne de 2018 à 2021. Cependant, le Secrétariat du gouvernement du canton de Berne a refusé cette demande, arguant que fournir les reçus de quatre ans était disproportionné et que le contenu était très sensible : „Les reçus peuvent contenir des informations concernant partiellement la sphère de la vie privée.“

„Kassensturz“ a fait appel de cette décision, mais le Tribunal administratif de Berne a changé la décision du canton et a fourni les reçus et les calculs des dépenses de 2018 à 2021 avant que le tribunal ne rende sa décision finale. Au total, 300 pages, y compris les frais de représentation.

Dépenses et frais de représentation des membres du gouvernement :

Les documents montrent que des membres du gouvernement tels que le directeur de la sécurité Philippe Müller (FDP), le directeur de l’économie Christoph Ammann (SP) et le directeur de la santé Pierre Alain Schnegg (SVP) invitent des invités du monde économique et politique à dîner.

L’invitation de Christoph Ammann avec du vin :

Lorsqu’il invite, Christoph Ammann (SP) fait couler le vin pendant le déjeuner. Alors qu’il déjeunait avec le PDG d’une société de conseil, en juillet 2021, avec un schnitzel viennois coûtant 42 francs en ville, il a également bu deux verres d’Optimo Weiss et de vin rouge. Le coût total du déjeuner avec le PDG : 141,50 francs.

Kuno Schedler vérifie une facture de restaurant avec deux schnitzels viennois pour le déjeuner :

Christoph Ammann (SP) a dépensé 30 francs en 2019 pour un châle appelé „Edenhut“ et „crème Seide“. Même s’il souligne que de telles dépenses font déjà partie du forfait annuel de 8 000 francs, un billet de parc Swiss Economic Forum de 20 francs a également été facturé par Ammann.

L’invitation de Pierre-Alain Schnegg :

Pierre-Alain Schnegg (SVP) se réunit pour un „business-lunch“ avec deux politiciens et quelques employés du ministère de la Santé BAG. Coût total : 627 francs, y compris une bouteille de Champagne et une bouteille de Merlot. Coût pour le canton.

Quels sont les politiciens qui dépensent le plus ?

Selon la SRF, des membres du gouvernement de l’État de Berne tels que Philippe Müller (FDP) ont tendance à facturer de petites sommes ou à inviter des invités du monde économique et politique à dîner.

Quels sont les politiciens qui dépensent le moins ?

Selon la recherche, il existe des membres du gouvernement de l’État qui facturent moins de dépenses et de frais de représentation que les hommes.

Que dit le gouvernement de l’État de Berne ?

Reto Wüthrich, responsable de la communication du gouvernement de l’État de Berne, affirme que tout est légal : „Les dépenses facturées sont des dépenses normales et justifiées dans le cadre d’une appartenance au gouvernement de l’État. La facturation de ces dépenses officielles par les membres du gouvernement à l’État est conforme à la législation en vigueur.“

Que disent les membres du gouvernement discutés ?

Aucun des membres du gouvernement de l’État n’a souhaité commenter les documents de dépenses et les frais de représentation divulgués par „Kassensturz.“

Italienisch: Anche una banana da 20 centesimi è stata fatturata

Rivelazioni di SRF Kassensturz: I membri del governo dello stato di Berna fatturano spese minime dubbie

BERNA – Anche se i membri del governo dello stato di Berna ricevono uno stipendio mensile di quasi 280.000 franchi svizzeri, cioè circa 22.000 franchi svizzeri all’anno, il programma SRF Kassensturz ha rivelato che hanno la tendenza a fatturare somme minime. Il direttore della sicurezza, Philippe Müller, in carica dal 2018, ha guadagnato oltre 1,3 milioni di franchi svizzeri finora. Beneficia anche di un pacchetto spese di 8.000 franchi svizzeri all’anno.

Dettagli sospetti sulle spese alimentari:

Partecipando a conferenze, ospitando ospiti dal mondo dell’economia e della politica e talvolta fatturando piccole somme come un pane integrale biologico che costa circa 95 centesimi (circa 1 franco) e una banana che costa 20 centesimi a nome del Canton Berna come „spese alimentari“. Inoltre, secondo i documenti, hanno fatturato anche 3,20 franchi per un „Laugenbretzeli mit Butter“ (Bretzel al burro), che hanno documentato come spese per uno spuntino durante nove pause.

Daniel Wyrsch, membro dell’Associazione del personale dello stato di Berna e membro del partito socialista, critica la fatturazione di queste piccole somme: „Trovo questo molto piccolo e imbarazzante con un reddito lordo vicino a 280.000 franchi all’anno. I dipendenti del cantone non possono fatturare questo. Ognuno dovrebbe pagare il proprio pranzo.“ Inoltre, Kuno Schedler, professore di amministrazione pubblica all’Università di San Gallo, sottolinea che tali piccole spese sono sospette: „Il costo di elaborazione è già tra i 25 e i 30 franchi. E la domanda è: se qualcuno usa 20 centesimi, cosa sta usando ancora?“ Il direttore della sicurezza, Philippe Müller, non commenta le sue spese.

Richiesta di riservatezza e risultati:

Richiamando il principio di trasparenza garantito costituzionalmente nel Canton Berna, il programma „Kassensturz“ ha chiesto l’accesso ai documenti sulle spese dei membri del governo dello stato di Berna dal 2018 al 2021. Tuttavia, la Segreteria del governo del Canton Berna ha respinto questa richiesta, sostenendo che fornire ricevute per quattro anni sarebbe stato sproporzionato e che il contenuto era molto delicato: „Le ricevute possono contenere informazioni che riguardano in parte la sfera della vita privata.“

„Kassensturz“ ha contestato questa decisione, ma l’amministrazione cantonale di Berna ha cambiato la decisione prima che fosse noto l’esito della causa, fornendo le ricevute e i calcoli delle spese dal 2018 al 2021. In totale, 300 pagine, comprese le spese di rappresentanza.

Spese e spese di rappresentanza dei membri del governo:

I documenti mostrano che alcuni membri del governo, in particolare il direttore della sicurezza Philippe Müller (FDP), il direttore dell’economia Christoph Ammann (SP) e il direttore della sanità Pierre Alain Schnegg (SVP), invitano ospiti dal mondo dell’economia e della politica a cena.

L’invito di Christoph Ammann con del vino:

Quando invita, Christoph Ammann (SP) offre del vino durante il pranzo. Il suo ospite è il CEO di una società di consulenza e nel luglio 2021 hanno condiviso una schnitzel viennese che costa 42 franchi in città, con due bicchieri di „Optimo Weiss“ e vino rosso. Costo totale del pranzo con il CEO: 141,50 franchi.

Kuno Schedler controlla la fattura di un pranzo con due schnitzel viennesi:

Christoph Ammann (SP) ha anche pagato 30 franchi nel 2019 per una sciarpa chiamata „Edenhut“ e „crème Seide“. Anche se tali spese fanno già parte del pacchetto annuale di 8.000 franchi, Ammann ha anche fatturato un biglietto per il Swiss Economic Forum di 20 franchi.

L’invito di Pierre-Alain Schnegg:

Pierre-Alain Schnegg (SVP) organizza un „Business-Lunch“ con due politici e alcuni dipendenti dell’Ufficio federale della sanità pubblica (BAG). Costo totale: 627 franchi, con una bottiglia di Champagne e una bottiglia di Merlot incluse. Costo per il cantone.

Quali politici spendono di più?

Secondo la SRF, membri del governo dello stato di Berna come Philippe Müller (FDP) tendono a fatturare piccole somme o ad invitare ospiti dal mondo dell’economia e della politica a cena.

Quali politici spendono meno?

Secondo la ricerca, ci sono membri del governo dello stato che fatturano meno spese e spese di rappresentanza rispetto agli uomini.

Cosa dice il governo dello stato di Berna?

Reto Wüthrich, responsabile della comunicazione del governo dello stato di Berna, afferma che tutto è legale: „Le spese fatturate sono considerate normali e giustificate nell’ambito di un incarico governativo dello stato. La fatturazione di queste spese ufficiali da parte dei membri del governo allo stato è conforme alla legislazione vigente.“

Cosa dicono i membri controversi del governo?

Nessun membro del governo dello stato menzionato ha voluto commentare i documenti di spesa e le spese di rappresentanza presentati da „Kassensturz“

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Sterbehilfe in der Schweiz: 11% Anstieg im Jahr 2023

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„Sterbehilfe in der Schweiz: 11% Anstieg im Jahr 2023, Exit Deutsche Schweiz gewinnt fast 20.000 neue Mitglieder“

Der Verein Exit Deutsche Schweiz gab bekannt, dass im vergangenen Jahr 1252 Mitglieder Sterbehilfe beantragten – ein Anstieg um 11 Prozent im Vergleich zu 2022. Der Verein verzeichnete auch fast 20.000 neue Mitglieder. Ende des letzten Jahres zählte der Verein 167.631 Mitglieder, was einem Zuwachs von 19.679 Menschen im Vergleich zum Vorjahr entspricht. Darüber hinaus machten 92.000 Mitglieder von der Möglichkeit Gebrauch, ihre Patientenverfügung über diese Organisation zu hinterlegen.

Der Anstieg der Nachfrage nach Sterbehilfe ist auf die immer älter werdende Gesellschaft und die damit verbundenen schweren Krankheiten oder Behinderungen zurückzuführen. Das Durchschnittsalter der begleiteten Menschen wurde auf 80,7 Jahre bei Frauen und 79 Jahre bei Männern festgelegt.

Ein weiteres bemerkenswertes Ergebnis der Studie war, dass bei 31 Prozent der Sterbenden eine terminale Krebserkrankung diagnostiziert wurde, was 392 begleiteten Personen entspricht. Es wurde auch darauf hingewiesen, dass immer mehr ältere Menschen mit multiplen Gesundheitsproblemen den selbstbestimmten Tod wählen. Wie im Vorjahr bevorzugten Frauen (759) im Vergleich zu Männern (493) den Freitod.

Exit Deutsche Schweiz, als zentraler Verein für Sterbehilfe in der Schweiz, spielt eine bedeutende Rolle in der ethischen und rechtlichen Unterstützung seiner Mitglieder bei ihrem selbstbestimmten Ende.

En français : „Assistance au suicide en Suisse : Augmentation de 11 % en 2023, Exit Deutsche Schweiz gagne près de 20 000 nouveaux membres“

L’association Exit Deutsche Schweiz a annoncé que l’année dernière, 1252 de ses membres ont demandé une assistance au suicide, soit une augmentation de 11 % par rapport à 2022. L’association a également enregistré près de 20 000 nouveaux membres. À la fin de l’année dernière, l’association comptait 167 631 membres, soit 19 679 de plus par rapport à l’année précédente. En outre, 92 000 membres ont utilisé la possibilité de déposer leur directive anticipée par le biais de cette organisation.

L’augmentation de la demande d’assistance au suicide est attribuée au vieillissement croissant de la société et aux maladies graves ou handicaps qui en résultent. L’âge moyen des personnes accompagnées a été fixé à 80,7 ans pour les femmes et 79 ans pour les hommes.

Un autre résultat notable de l’étude était que 31 % des personnes en fin de vie avaient reçu un diagnostic de cancer terminal, ce qui correspond à 392 accompagnements. On a également souligné que de plus en plus de personnes âgées présentant des problèmes de santé multiples choisissent la mort autodéterminée. Comme l’année précédente, les femmes (759) ont préféré le suicide par rapport aux hommes (493).

Exit Deutsche Schweiz, en tant qu’association centrale pour l’assistance au suicide en Suisse, joue un rôle crucial dans le soutien éthique et juridique de ses membres pour leur fin autodéterminée.

In italiano: „Assistenza al suicidio in Svizzera: Aumento dell’11% nel 2023, Exit Deutsche Schweiz guadagna quasi 20.000 nuovi membri“

L’associazione Exit Deutsche Schweiz ha annunciato che l’anno scorso 1252 dei suoi membri hanno richiesto l’assistenza al suicidio, registrando un aumento dell’11% rispetto al 2022. L’associazione ha anche guadagnato quasi 20.000 nuovi membri. Alla fine dell’anno scorso, l’associazione contava 167.631 membri, il che rappresenta un aumento di 19.679 persone rispetto all’anno precedente. Inoltre, 92.000 membri hanno utilizzato la possibilità di depositare il loro testamento biologico tramite questa organizzazione.

L’aumento della domanda di assistenza al suicidio è attribuito all’invecchiamento sempre maggiore della società e alle gravi malattie o disabilità che ne conseguono. L’età media delle persone accompagnate è stata fissata a 80,7 anni per le donne e 79 anni per gli uomini.

Un altro risultato degno di nota dello studio è che il 31% dei morenti aveva ricevuto una diagnosi di cancro terminale, corrispondente a 392 assistenze. Si è anche sottolineato che sempre più anziani con problemi di salute multipli scelgono la morte autodeterminata. Come l’anno precedente, le donne (759) hanno preferito il suicidio rispetto agli uomini (493).

Exit Deutsche Schweiz, in quanto associazione centrale per l’assistenza al suicidio in Svizzera, svolge un ruolo cruciale nel fornire sostegno etico e legale ai propri membri per la loro fine autodeterminata.

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„Europas neue Sex-Hauptstadt“? Zürich kontert britische Kritik

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Im Blickpunkt: Zürich

Die Stadt Zürich, bekannt für ihre kulturelle Vielfalt und liberale Einstellungen in der Schweiz, steht in den Schlagzeilen der britischen Presse, die sie als „Europas neue Sex-Hauptstadt“ bezeichnet. Die Zeitung „The Sun“ bringt den Anstieg der Sexindustrie in Zürich auf die Titelseiten und behauptet, die Stadt sei die „Europas neue Sex-Hauptstadt“.

Klare Reaktion der Zürcher Behörden

Die Zürcher Behörden reagieren entschieden auf diese Behauptungen und stellen den sozialen und rechtlichen Rahmen ihrer Stadt klar dar. Zürich hat eine lange Geschichte liberaler Sexpolitik und Sicherheitsmaßnahmen. Mit den rechtlichen Bestimmungen und Unterstützungsmechanismen für Sexarbeiterinnen betont Zürich seine soziale Verantwortung und setzt sich entschlossen für diese Anliegen ein.

Aussagen schutzbedürftiger Frauen und der Bericht von Thea Jacobs

Während Sexarbeiterinnen im Gebiet Langstrasse ein alltäglicher Anblick in der Stadt sind, hat der Bericht der britischen Zeitung ‚The Sun‘, in dem Zürich als ‚Europas neue Sex-Hauptstadt‘ bezeichnet wird, lokale Unterstützungspunkte gestört. Die Journalistin Thea Jacobs behauptet, dass schutzbedürftige Frauen von Banden ausgebeutet werden und gibt an, dass Menschenhandel besonders in Langstrasse verbreitet sei. Dabei handelt es sich jedoch nicht um einen legalen Bereich – es existiert keine zugewiesene Strichzone für Sexarbeit, wie sie in ihrem Bericht feststellt.

Die liberale Sexpolitik der Schweiz und die Situation in Zürich

Die Schweiz nimmt eine Position als eines der liberalsten Länder Europas ein, in dem sexuelle Dienstleistungen legal sind. Prostitution, Straßenprostitution, Sex-Saunen und Bordelle werden hier als legale Berufe anerkannt. Die britische Presse behauptet jedoch, dass Zürichs Sexindustrie mehr wert sei als die traditionelle Käseproduktion der Schweiz und verwendet dabei den Begriff „dunkle Seite“. Dies hat die Zürcher Behörden besonders gestört.

Die Bedingungen der Sexarbeiterinnen und Sicherheitsmaßnahmen

Der Bericht von Thea Jacobs konzentriert sich auf die Behauptung, dass schutzbedürftige Frauen unter schwierigen Arbeitsbedingungen leiden und Banden den Weg für illegale Betriebe ebnen. Doch Zürichs Stadtsprecherin Katharina Schorer weist darauf hin, dass die Stadt eine aktive Rolle im Kampf gegen Frauenhandel spielt und verschiedene Regelungen zur Unterstützung erlassen hat.

„Ich lebte in ständiger Angst“ – Die Rufe der Sexarbeiterinnen in Zürich

Thea Jacobs‘ Behauptungen

Gemäß dem eindringlichen Bericht der britischen Journalistin Thea Jacobs werden schutzbedürftige Frauen von Menschenhändlern dazu gezwungen, ihre Körper zu verkaufen und auf den Straßen zu arbeiten. Jacobs hebt hervor, dass der Fokus des Berichts auf Langstrasse liegt, einem Bereich ohne Straßenprostitution, und betont, dass Frauen, die auf den Straßen für Prostitution stehen, nicht als Sexarbeiterinnen bezeichnet werden sollten.

Der Kampf gegen die legale Sexarbeit in Zürich und dessen Folgen

Gemäß Jacobs‘ Behauptungen hat der Kampf gegen die legale Sexarbeit in Zürich den Weg für illegale Betriebe geebnet. Dieser Kampf gegen die gesetzlichen Bestimmungen scheint die Unregelmäßigkeiten in der Sexindustrie Zürichs verstärkt zu haben.

Aussagen der Sexarbeiterinnen

Die Journalistin hat sich in ihrem Bericht mit Sexarbeiterinnen getroffen, die über die schrecklichen Arbeitsbedingungen klagen. Eine Frau namens Elisa teilt ihre Qualen und Ängste: „Wenn ein Kunde Gewalt anwendet, war mein Handy immer bei mir. Von hundert Kunden zeigte vielleicht einer ein wenig Respekt. Nach einer Weile lebte ich regelrecht in einem Albtraum.“ Andere Sexarbeiterinnen berichten von perversen Männern mit animalischen Trieben oder Vätern, die mit ihren Söhnen kommen.

Der ökonomische und soziale Kontext Zürichs

Laut Katharina Schorer, der Sprecherin des Sicherheitsdepartements von Zürich, spielt die Stadt eine aktive Rolle im Kampf gegen den Frauenhandel und bewertet die Situation in der Stadt ständig neu. Die Stadt betreibt das Beratungszentrum Flora Dora, um Unterstützung für Sexarbeiterinnen in der Straßenprostitution oder im Escortbereich in Zusammenarbeit mit verschiedenen NGOs zu bieten.

Der ökonomische Beitrag der Sexindustrie und die allgemeine Situation

Beatrice Bänninger, Leiterin des Fachzentrums „Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter Solidara“, hält den Bericht der Sun für problematisch. Sie betont, dass Zürich keine neue Sex-Hauptstadt ist und dass die Sexindustrie nur 0,5% des Bruttoinlandsprodukts des Landes ausmacht. Bänninger erklärt, dass der Bericht ein veraltetes und einseitiges Bild zeichnet und Verallgemeinerungen ungerecht sind.

Fazit und zukünftige Schritte

In diesem Sinne widerspricht Bänninger der Verallgemeinerung, dass Sexarbeiterinnen Opfer sind, und erklärt, dass viele Menschen freiwillig in dieser legalen Branche arbeiten und gegen ungerechtfertigte Anschuldigungen kämpfen müssen. Zürich setzt sich mit einem starken Standpunkt gegen die Vorwürfe ein und bemüht sich weiterhin, die wahre Situation der Stadt darzustellen.


Französisch: „Nouvelle capitale européenne du sexe“ ? Zurich répond aux critiques britanniques

En lumière : Zurich

La ville de Zurich, connue pour sa diversité culturelle et ses attitudes libérales en Suisse, fait la une de la presse britannique, qui la qualifie de „nouvelle capitale européenne du sexe“. Le journal „The Sun“ place l’essor de l’industrie du sexe à Zurich en première page et affirme que la ville est la „nouvelle capitale européenne du sexe“.

Réponse claire des autorités zurichoises

Cependant, les autorités zurichoises réagissent vivement à ces allégations et présentent clairement le cadre social et légal de leur ville. Zurich a une longue histoire de politique sexuelle libérale et de mesures de sécurité. Avec les dispositions légales et les mécanismes de soutien pour les travailleurs du sexe, Zurich souligne sa responsabilité sociale et s’engage résolument en faveur de ces questions.

Déclarations de femmes vulnérables et rapport de Thea Jacobs

Bien que les travailleurs du sexe dans le quartier de Langstrasse soient une vue quotidienne dans la ville, le rapport du journal britannique „The Sun“, qui qualifie Zurich de „nouvelle capitale européenne du sexe“, a perturbé les points de soutien locaux. La journaliste Thea Jacobs affirme que des femmes vulnérables sont exploitées par des gangs et déclare que la traite des êtres humains est particulièrement répandue à Langstrasse. Cependant, il ne s’agit pas d’une zone légale pour le travail du sexe.

La politique sexuelle libérale de la Suisse et la situation à Zurich

La Suisse occupe une position parmi les pays les plus libéraux d’Europe, où les services sexuels sont légaux. La prostitution, la prostitution de rue, les saunas sexuels et les bordels sont reconnus comme des professions légales. Cependant, la presse britannique affirme que l’industrie du sexe à Zurich vaut plus que la production traditionnelle de fromage suisse, utilisant le terme „côté sombre“. Cela a particulièrement contrarié les autorités zurichoises.

Conditions des travailleurs du sexe et mesures de sécurité

Le rapport de Thea Jacobs met l’accent sur l’affirmation selon laquelle des femmes vulnérables souffrent de conditions de travail difficiles et que des gangs ouvrent la voie à des entreprises illégales. Cependant, la porte-parole de la ville de Zurich, Katharina Schorer, souligne que la ville joue un rôle actif dans la lutte contre la traite des femmes et a mis en place diverses réglementations de soutien.

„Je vivais dans une peur constante“ – Les cris des travailleurs du sexe à Zurich

Les allégations de Thea Jacobs

Selon le rapport percutant de la journaliste britannique Thea Jacobs, des femmes vulnérables sont contraintes par des trafiquants à vendre leur corps et à travailler dans les rues. Jacobs souligne que le rapport se concentre sur Langstrasse, une zone sans prostitution de rue, et insiste sur le fait que les femmes qui se tiennent dans les rues pour se prostituer ne devraient pas être appelées travailleuses du sexe.

Lutte contre le travail sexuel légal à Zurich et ses conséquences

Selon les affirmations de Jacobs, la lutte contre le travail sexuel légal à Zurich a ouvert la voie à des entreprises illégales. Cette lutte contre les dispositions légales semble avoir renforcé les irrégularités dans l’industrie du sexe à Zurich.

Témoignages des travailleurs du sexe

La journaliste a rencontré des travailleurs du sexe qui se plaignent des conditions de travail épouvantables. Une femme nommée Elisa partage ses souffrances et ses peurs : „Si un client fait preuve de violence, mon téléphone était toujours avec moi. Parmi cent clients, peut-être un montrait un peu de respect. Au bout d’un moment, je vivais littéralement dans un cauchemar.“ D’autres travailleurs du sexe parlent d’hommes pervers aux pulsions animales ou de pères venant avec leurs fils.

Contexte économique et social de Zurich

Selon Katharina Schorer, porte-parole du département de la sécurité de Zurich, la ville joue un rôle actif dans la lutte contre la traite des femmes et évalue constamment la situation dans la ville. La ville gère le centre de conseil Flora Dora pour fournir un soutien aux travailleurs du sexe dans la prostitution de rue ou dans le secteur de l’escorte en collaboration avec diverses ONG.

Contribution économique de l’industrie du sexe et situation générale

Beatrice Bänninger, directrice du centre d’expertise „Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter Solidara“, juge le rapport du Sun problématique. Elle souligne que Zurich n’est pas une nouvelle capitale du sexe et que l’industrie du sexe ne représente que 0,5 % du produit intérieur brut du pays. Bänninger explique que le rapport donne une image obsolète et unilatérale et que les généralisations sont injustes.

Conclusion et prochaines étapes

Dans ce sens, Bänninger conteste la généralisation selon laquelle les travailleurs du sexe sont des victimes et explique que de nombreuses personnes travaillent volontairement dans ce secteur légal et doivent lutter contre des accusations infondées. Zurich défend fermement sa position contre les accusations et continue de s’efforcer de présenter la véritable situation de la ville.


Italienisch: „Nuova capitale europea del sesso“? Zurigo risponde alle critiche britanniche

In primo piano: Zurigo

La città di Zurigo, nota per la sua diversità culturale e le posizioni liberali in Svizzera, è sotto i riflettori della stampa britannica che la definisce „la nuova capitale europea del sesso“. Il giornale „The Sun“ mette in prima pagina la crescita dell’industria del sesso a Zurigo, sostenendo che la città sia la „nuova capitale europea del sesso“.

Risposta chiara delle autorità zurighesi

Le autorità di Zurigo reagiscono con decisione a queste affermazioni, presentando chiaramente il quadro sociale e legale della loro città. Zurigo vanta una lunga storia di politiche sessuali liberali e misure di sicurezza. Con le disposizioni legali e i meccanismi di sostegno per le sex worker, Zurigo sottolinea la sua responsabilità sociale e si impegna con determinazione per queste questioni.

Dichiarazioni di donne vulnerabili e il rapporto di Thea Jacobs

Nonostante le sex worker nell’area di Langstrasse siano una vista quotidiana in città, il rapporto del giornale britannico „The Sun“ che definisce Zurigo la „nuova capitale europea del sesso“ ha disturbato i punti di supporto locali. La giornalista Thea Jacobs sostiene che le donne vulnerabili sono sfruttate da bande criminali e afferma che il traffico di esseri umani è particolarmente diffuso a Langstrasse. Tuttavia, questa zona non è designata come un’area legale per il lavoro sessuale.

La politica sessuale liberale della Svizzera e la situazione a Zurigo

La Svizzera occupa una posizione tra i paesi più liberali d’Europa, dove i servizi sessuali sono legali. La prostituzione, la prostituzione di strada, le saune sessuali e i bordelli sono riconosciuti come professioni legali. Tuttavia, la stampa britannica afferma che l’industria del sesso a Zurigo vale più della produzione tradizionale di formaggio svizzero, utilizzando il termine „lato oscuro“. Questo ha particolarmente infastidito le autorità di Zurigo.

Condizioni delle sex worker e misure di sicurezza

Il rapporto di Thea Jacobs si concentra sull’affermazione che le donne vulnerabili soffrono di condizioni di lavoro difficili e che le bande aprono la strada a imprese illegali. Tuttavia, la portavoce di Zurigo, Katharina Schorer, sottolinea che la città svolge un ruolo attivo nella lotta contro il traffico di donne e ha introdotto varie normative a sostegno.

„Vivevo in una paura costante“ – Le grida delle sex worker a Zurigo

Le affermazioni di Thea Jacobs

Secondo il rapporto incisivo della giornalista britannica Thea Jacobs, le donne vulnerabili sono costrette dai trafficanti a vendere i loro corpi e a lavorare per strada. Jacobs sottolinea che il focus del rapporto è su Langstrasse, un’area senza prostituzione di strada, e insiste sul fatto che le donne che lavorano per strada non dovrebbero essere chiamate sex worker.

Lotta contro il lavoro sessuale legale a Zurigo e le sue conseguenze

Secondo le affermazioni di Jacobs, la lotta contro il lavoro sessuale legale a Zurigo ha aperto la strada a imprese illegali. Questa lotta contro le disposizioni legali sembra aver rafforzato le irregolarità nell’industria del sesso a Zurigo.

Dichiarazioni delle sex worker

La giornalista ha incontrato sex worker che si lamentano delle terribili condizioni di lavoro. Una donna di nome Elisa condivide le sue sofferenze e le sue paure: „Se un cliente usava la violenza, il mio telefono era sempre con me. Tra cento clienti, forse uno mostrava un po‘ di rispetto. Dopo un po‘, vivevo letteralmente in un incubo.“ Altre sex worker parlano di uomini perversi con pulsioni animali o di padri che arrivano con i loro figli.

Contesto economico e sociale di Zurigo

Secondo Katharina Schorer, portavoce del dipartimento della sicurezza di Zurigo, la città svolge un ruolo attivo nella lotta contro il traffico di donne e valuta costantemente la situazione nella città. La città gestisce il centro di consulenza Flora Dora per fornire supporto alle sex worker nella prostituzione di strada o nel settore dell’accompagnamento in collaborazione con varie ONG.

Contributo economico dell’industria del sesso e situazione generale

Beatrice Bänninger, direttrice del centro di competenza „Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter Solidara“, ritiene il rapporto del Sun problematico. Sottolinea che Zurigo non è una nuova capitale del sesso e che l’industria del sesso rappresenta solo lo 0,5% del prodotto interno lordo del paese. Bänninger spiega che il rapporto dipinge un’immagine datata e unilaterale e che le generalizzazioni sono ingiuste.

Conclusione e prossimi passi

In questo contesto, Bänninger contesta la generalizzazione secondo cui le sex worker sono vittime e spiega che molte persone lavorano volontariamente in questo settore legale e devono combattere contro accuse infondate. Zurigo difende fermamente la propria posizione contro le accuse e continua ad impegnarsi per presentare la vera situazione della città.

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WOZ-Mitarbeiter mit sexuellen Belästigungsvorwürfen konfrontiert

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WOZ-Mitarbeiter mit sexuellen Belästigungsvorwürfen konfrontiert Interne Regeln unzureichend! Untersuchung durch Juristin offenbart Schutzlücken für Angestellte

In Zürich ansässige Wochenzeitung (WOZ) sieht sich mit Anschuldigungen konfrontiert, wonach ein ehemaliger Mitarbeiter, während seiner Tätigkeit auf der Plattform „Republik“, mehrere Frauen sexuell belästigt haben soll. Nach Bekanntwerden hat die WOZ eine juristische Untersuchung in Auftrag gegeben.

Die unabhängige Untersuchung durch eine Juristin ergab, dass interne Regeln nicht ausreichend waren, um die Angestellten adäquat zu schützen. Es wurde festgestellt, dass der betreffende Journalist bis 2018 bei der WOZ beschäftigt war und später auf der „Republik“-Plattform ähnliche Vorwürfe sexueller Belästigung gegen sich hatte.

Die Vorfälle wurden am 24. August 2023 während der Radio-SRF-4-Sendung öffentlich gemacht. In Reaktion auf die Vorwürfe hat die WOZ eine unabhängige Untersuchung durch eine Juristin eingeleitet und den Mitarbeitern eine vertrauliche Meldestelle für „Verletzungen der persönlichen Integrität“ seit 2005 bis heute zur Verfügung gestellt.

Insgesamt wurden achtzehn Meldungen eingereicht, die größtenteils mit den öffentlich gemachten Vorwürfen übereinstimmten. Die Juristin empfiehlt eine Aufarbeitung der vergangenen Vorfälle sowie zusätzliche betriebliche Maßnahmen zum Schutz der persönlichen Integrität der Mitarbeiter.

Die Untersuchung zeigt, dass interne Regeln nicht ausreichend waren, um Verletzungen der persönlichen Integrität zu verhindern. Die WOZ plant die Einrichtung einer externen Meldestelle sowie Schulungen und Präventionsmaßnahmen. Zusätzlich entschuldigt sich die WOZ bei den Betroffenen, vor allem für die erlebte psychische Belastung und dafür, dass der Betrieb keine vertrauensvolle Unterstützung gewährleisten konnte.

Nach diesen Entwicklungen hat die WOZ zugesagt, die Vergangenheit aufzuarbeiten und weitere Maßnahmen zum Schutz der Mitarbeiter zu ergreifen.

Französisch: Employé de la WOZ accusé de harcèlement sexuel : Les règles internes jugées insuffisantes ! L’enquête d’un juriste révèle des lacunes dans la protection des employés

La semaine dernière, un ancien employé de la WOZ (Wochenzeitung), basé à Zurich, a été accusé d’avoir harcelé sexuellement plusieurs femmes lorsqu’il travaillait ultérieurement sur la plateforme „Republik“. Suite à ces révélations, la WOZ a mandaté un juriste pour mener une enquête approfondie.

L’examen indépendant effectué par le juriste a révélé que les règles internes n’étaient pas suffisantes pour protéger adéquatement les employés. Il a été mentionné que le journaliste en question avait travaillé à la WOZ jusqu’en 2018, puis avait été confronté à des accusations similaires de harcèlement sexuel lors de son emploi ultérieur à „Republik“.

Les faits ont été rendus publics le 24 août 2023 lors de l’émission Radio-SRF-4. En réponse aux accusations, la WOZ a lancé une enquête indépendante menée par un juriste et a mis en place un mécanisme confidentiel permettant aux employés de signaler des „atteintes à l’intégrité personnelle“ depuis 2005 jusqu’à aujourd’hui.

Au total, dix-huit signalements ont été enregistrés, correspondant en grande partie aux accusations rendues publiques. Le rapport du juriste recommande un examen des incidents passés ainsi que des mesures opérationnelles supplémentaires pour protéger l’intégrité personnelle des employés.

L’enquête révèle que les règles internes étaient insuffisantes pour prévenir les atteintes à l’intégrité personnelle. La WOZ envisage la création d’un mécanisme externe de signalement ainsi que des formations et des mesures de prévention. De plus, la WOZ présente des excuses aux personnes concernées, notamment pour la détresse psychologique subie et le manque de soutien fiable de l’entreprise.

Suite à ces développements, la WOZ s’est engagée à examiner le passé et à prendre des mesures supplémentaires pour protéger ses employés.


Italienisch: Dipendente della WOZ accusato di molestie sessuali: Regole interne ritenute insufficienti! L’indagine di un giurista rivela lacune nella protezione dei dipendenti

La scorsa settimana, un ex dipendente della WOZ (Wochenzeitung), con sede a Zurigo, è stato accusato di aver molestato sessualmente diverse donne durante il suo successivo impiego sulla piattaforma „Republik“. In seguito a queste rivelazioni, la WOZ ha incaricato un giurista di condurre un’indagine approfondita.

L’indagine indipendente condotta dal giurista ha rivelato che le regole interne non erano sufficienti per proteggere adeguatamente i dipendenti. Si è menzionato che il giornalista in questione aveva lavorato alla WOZ fino al 2018, poi aveva affrontato accuse simili di molestie sessuali durante il suo impiego successivo presso „Republik“.

Gli eventi sono stati resi pubblici il 24 agosto 2023 durante il programma Radio-SRF-4. In risposta alle accuse, la WOZ ha avviato un’indagine indipendente condotta da un giurista e ha istituito un meccanismo confidenziale che consente ai dipendenti di segnalare „violazioni dell’integrità personale“ dal 2005 fino ad oggi.

In totale sono stati registrati diciotto segnalazioni, in gran parte corrispondenti alle accuse rese pubbliche. La relazione del giurista raccomanda una revisione degli incidenti passati e ulteriori misure operative per proteggere l’integrità personale dei dipendenti.

L’indagine rivela che le regole interne erano insufficienti per prevenire le violazioni dell’integrità personale. La WOZ prevede di istituire un meccanismo esterno di segnalazione, nonché formazioni e misure preventive. Inoltre, la WOZ presenta scuse alle persone coinvolte, in particolare per lo stress psicologico subito e per la mancanza di un sostegno affidabile da parte dell’azienda.

A seguito di questi sviluppi, la WOZ si è impegnata a esaminare il passato e ad adottare ulteriori misure per proteggere i propri dipendenti.

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