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Bundesrat trifft wichtige Entscheidungen – Tabaksteuer wird erhöht

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Cemil Baysal – Nach einer einwöchigen Pause aufgrund des WEF kam der Bundesrat am Mittwoch zu seiner dritten Sitzung des Jahres zusammen. Hier sind die wichtigsten Beschlüsse im Überblick. Eine der beachtenswertesten Entscheidungen betrifft die Erhöhung der Tabaksteuer.

Die Regierung sieht sich in den kommenden Jahren mit einem Milliardenloch konfrontiert – bis 2025 wird erwartet, dass der Fehlbetrag etwa 2,5 Milliarden Franken erreichen wird. Um dieses Haushaltsdefizit zu decken, hat der Bundesrat folgende Maßnahmen beschlossen:

  • Die Tabaksteuer wird erhöht, um zusätzliche Einnahmen von mindestens 35 Millionen Franken zu generieren. Allerdings wurden die Nationalen und Interkantonalen Wirtschaftskommissionen zu diesem Thema noch nicht konsultiert.
  • Der Beitrag an die ETH wird einmalig um 100 Millionen Franken reduziert.
  • Temporär fordert der Bundesrat mehr Flexibilität bei den Beiträgen zur Arbeitslosenversicherung. Diese Änderung soll die Dienstleistungen des Arbeitsamts nicht beeinträchtigen.
  • Es werden Möglichkeiten zur Kostensenkung im Asyl- und S-Bereich untersucht.
  • Ein Konzept zur Unterstützung von familienunterstützender Pflege soll frühestens im Jahr 2026 in Kraft treten.

Zusätzlich dazu wurde ein schlechtes Zeugnis für die Bundesverwaltungsleiter veröffentlicht. Die Führungsebene der Bundesangestellten erhält von ihren Mitarbeitern eine geringe Zufriedenheitsbewertung. Die Manager erzielten 61 Punkte von 100 und erhielten insbesondere in der Bewältigung akuter Probleme einen niedrigen Punktwert von 57.

Trotzdem betont der Bundesrat, dass in der Bundesverwaltung Mitarbeiter mit hoher Leistung und Engagement tätig sind, ohne sich zu stark auf Kritik zu konzentrieren.

Eine weitere bedeutende Entwicklung ist die Ernennung von Christa Hostettler zur neuen Leiterin des Bundesamts für Verkehr. Diese prestigeträchtige Position umfasst die oberste Führungsebene aller Angelegenheiten des öffentlichen Verkehrs in der Schweiz. Hostettler, derzeit bei PostAuto Schweiz tätig, hat sich insbesondere mit der Aufklärung des PostAuto-Subventions-Skandals befasst.

Bundesrat lehnt Feuerwerksverbot ab

Während die Regierung die Volksinitiative „Für ein Feuerwerksverbot“ ablehnt, verzichtet sie gleichzeitig auf einen Gegenvorschlag. Der Bundesrat argumentiert, dass die Kantone und Gemeinden bereits ausreichende rechtliche Grundlagen für die Beschränkung von Feuerwerken haben. Obwohl er sich bewusst ist, dass einige Menschen laute Feuerwerke als störend empfinden und bei einigen Tieren „Reaktionen“ hervorrufen, betont der Bundesrat, dass viele Schweizer Feuerwerke positiv mit Emotionen verbinden.

Die Ernennung von Stefan Walter zum neuen Direktor der Finanzmarktaufsicht FINMA gehört ebenfalls zu den wichtigen Entscheidungen der Sitzung. Walter, der den aus gesundheitlichen Gründen zurückgetretenen Urban Angehrn ersetzt, ist derzeit bei der Europäischen Zentralbank in Frankfurt tätig und bringt umfangreiche Erfahrung im Bereich der Finanzmarktaufsicht mit.

Die Regierung plant, sich mit der Untersuchung von Lecks zu befassen, die dazu geführt haben, dass Corona-Entscheidungen an die Medien gelangt sind. Als Reaktion auf die Untersuchung des Parlamentarischen Kontrollausschusses plant sie, das sogenannte „Verwaltungs- und Organisationsgesetz“ zu ändern. In Zukunft sollen die Strafverfolgungsbehörden und andere einsehen können, wer ein Protokoll einer Bundesratssitzung überprüft hat, um sicherzustellen, dass es nicht an die Medien oder andere weitergegeben wurde.

Zusätzlich dazu plant die Regierung, eine Informationsnotiz für neue Mitarbeiter der Bundesverwaltung zu erstellen, um deren Sensibilität gegenüber Lecks zu stärken. Die weiteren Empfehlungen des Parlaments werden als umgesetzt betrachtet.

Abschließend billigt der Bundesrat die Verwendung von Doppelnamen für Verheiratete und ermöglicht es Kindern, die Doppelnamen ihrer Eltern zu tragen – unabhängig davon, ob die Eltern verheiratet sind oder nicht. Es wird geplant, Doppelnamen künftig mit oder ohne Bindestrich zu verwenden.

Der Bundesrat bringt einen Gesetzentwurf in das Parlament ein, der aufgrund der Annahme eines Vorschlags, der eine Überordnung kantonaler Regelungen über allgemeine Arbeitsverträge fordert, erarbeitet wurde. Gleichzeitig fordert der Bundesrat das Parlament auf, den Gesetzentwurf aufgrund seiner Meinung nach grundlegenden Prinzipien des schweizerischen Rechts nicht anzunehmen. Ergebnis: Der Bundesrat legt heute einen Gesetzentwurf vor und fordert gleichzeitig das Parlament auf, ihn abzulehnen.

Französisch:

MERCREDI : Le Conseil fédéral prend des décisions cruciales – Hausse de la taxe sur le tabac

Après une pause d’une semaine due au WEF, le Conseil fédéral s’est réuni mercredi pour sa troisième séance de l’année. Voici un aperçu des décisions importantes prises lors de la réunion. L’une des décisions les plus marquantes concerne l’augmentation de la taxe sur le tabac.

Le gouvernement est confronté à un déficit budgétaire de plusieurs milliards de francs au cours des prochaines années – on estime qu’il atteindra environ 2,5 milliards de francs d’ici 2025. Afin de combler ce déficit, le Conseil fédéral a décidé des mesures suivantes :

  • La taxe sur le tabac sera augmentée, permettant au gouvernement de générer au moins 35 millions de francs de revenus supplémentaires. Cependant, les commissions économiques nationales et intercantonales n’ont pas encore été consultées à ce sujet.
  • La contribution à l’ETH sera réduite de manière ponctuelle de 100 millions de francs.
  • Temporairement, le Conseil fédéral demande davantage de flexibilité dans les cotisations à l’assurance-chômage. Cette modification est prévue de manière à ne pas affecter les services de l’Office cantonal de l’emploi.
  • Des méthodes de réduction des coûts dans les domaines de l’asile et des situations d’urgence seront examinées.
  • Un projet de soutien aux soins familiaux devrait entrer en vigueur au plus tôt en 2026.

En outre, un rapport défavorable a été publié pour les cadres de l’Administration fédérale. La direction du personnel de la Confédération obtient une note de satisfaction basse de la part de ses employés – les cadres ont obtenu 61 points sur 100, avec un faible score de 57 en ce qui concerne la gestion des problèmes urgents, selon le sondage annuel du personnel de la Confédération.

Malgré cela, le Conseil fédéral souligne qu’il existe du personnel de haute performance et engagé au sein de l’Administration fédérale, sans se concentrer excessivement sur les critiques.

Un autre développement majeur est la nomination de Christa Hostettler à la tête de l’Office fédéral des transports. Cette position prestigieuse englobe la haute direction de tous les aspects des transports publics en Suisse. Actuellement en poste chez PostAuto Suisse, Hostettler s’est notamment occupée de la gestion du scandale des subventions de PostAuto.

Opposition à l’interdiction des feux d’artifice

Le gouvernement propose de rejeter l’initiative populaire „Pour une interdiction des feux d’artifice“, renonçant par la même occasion à une contre-proposition. Le Conseil fédéral soutient que les cantons et les communes disposent déjà de bases légales suffisantes pour limiter les feux d’artifice. Bien qu’il soit conscient que certains considèrent les feux d’artifice bruyants comme dérangeants et qu’il y a des „réactions“ chez certains animaux, le Conseil fédéral souligne que de nombreux Suisses associent positivement les feux d’artifice à des émotions.

La nomination de Stefan Walter en tant que nouveau directeur de la surveillance des marchés financiers, la FINMA, figure également parmi les décisions importantes de la séance. Actuellement en poste à la Banque centrale européenne à Francfort, l’Allemand de 59 ans est décrit par le Conseil fédéral comme ayant une „large gamme d’expérience dans la surveillance des marchés financiers“.

Le gouvernement prévoit de s’attaquer à l’enquête sur les fuites ayant conduit à la divulgation dans les médias des décisions liées au coronavirus. En réponse à l’enquête de la Commission de contrôle du Parlement, il prévoit de modifier la prétendue „Loi sur l’organisation et la gestion“, permettant ainsi aux forces de l’ordre et à d’autres de voir qui a examiné un procès-verbal d’une réunion du Conseil fédéral et de s’assurer qu’il n’a probablement pas été transmis aux médias ou à d’autres personnes.

En outre, le gouvernement envisage de préparer une note d’information sur les fuites pour les nouveaux employés de l’Administration fédérale, afin de renforcer leur sensibilité à ce problème. Les autres recommandations du Parlement sont considérées comme mises en œuvre.

Enfin, le Conseil fédéral approuve l’utilisation de doubles noms pour les personnes mariées et permet aux enfants de porter le double nom de leurs parents – qu’ils soient mariés ou non. Il est prévu que les doubles noms puissent être utilisés à l’avenir avec ou sans trait d’union.

Le Conseil fédéral soumet au Parlement un projet de loi élaboré en raison de l’adoption d’une proposition demandant la supériorité des réglementations cantonales sur les contrats de travail généraux. Dans le même temps, le Conseil fédéral appelle le Parlement à ne pas accepter le projet de loi en raison de son opposition à certains principes fondamentaux du droit suisse. Résultat : Le Conseil fédéral présente aujourd’hui un projet de loi et appelle simultanément le Parlement à le rejeter.


Italienisch:

MERCOLEDÌ: Il Consiglio federale prende decisioni cruciali – Aumento dell’imposta sul tabacco

Dopo una pausa di una settimana dovuta al WEF, mercoledì il Consiglio federale si è riunito per la terza sessione dell’anno. Ecco un riepilogo delle decisioni importanti prese durante la riunione. Una delle decisioni più significative riguarda l’aumento dell’imposta sul tabacco.

Il governo si trova di fronte a un disavanzo di diversi miliardi di franchi nei prossimi anni – si stima che raggiungerà circa 2,5 miliardi di franchi entro il 2025. Per coprire questo disavanzo di bilancio, il Consiglio federale ha deciso le seguenti misure:

  • L’imposta sul tabacco verrà aumentata, consentendo al governo di generare almeno 35 milioni di franchi di entrate aggiuntive. Tuttavia, le commissioni economiche nazionali e intercantonali non sono ancora state consultate su questo tema.
  • Il contributo all’ETH sarà ridotto di 100 milioni di franchi in modo unico.
  • Temporaneamente, il Consiglio federale chiede maggiore flessibilità nei contributi all’assicurazione contro la disoccupazione. Questa modifica è pianificata in modo da non influenzare i servizi dell’Ufficio cantonale del lavoro.
  • Saranno esaminate le modalità di riduzione dei costi nei settori dell’asilo e delle situazioni di emergenza.
  • Un progetto di sostegno all’assistenza familiare dovrebbe entrare in vigore al più presto nel 2026.

Inoltre, è stato pubblicato un rapporto negativo per i dirigenti dell’Amministrazione federale. La dirigenza del personale della Confederazione ottiene una bassa valutazione di soddisfazione da parte dei propri dipendenti – i dirigenti hanno ottenuto 61 punti su 100, con un punteggio basso di 57 per quanto riguarda la gestione di problemi urgenti, secondo l’indagine annuale del personale della Confederazione.

Nonostante ciò, il Consiglio federale sottolinea che ci sono dipendenti con un alto rendimento e impegno all’interno dell’Amministrazione federale, senza concentrarsi eccessivamente sulle critiche.

Un altro sviluppo importante è la nomina di Christa Hostettler a capo dell’Ufficio federale dei trasporti. Questa posizione prestigiosa include la massima dirigenza in tutte le questioni dei trasporti pubblici in Svizzera. Attualmente in servizio presso PostAuto Svizzera, Hostettler si è occupata in particolare della gestione dello scandalo delle sovvenzioni di PostAuto.

Opposizione al divieto di fuochi d’artificio

Il governo propone di respingere l’iniziativa popolare „Per un divieto dei fuochi d’artificio“, rinunciando contemporaneamente a un controprogetto. Il Consiglio federale sostiene che i cantoni e i comuni dispongono già di basi giuridiche sufficienti per limitare i fuochi d’artificio. Anche se è consapevole che alcuni considerano i fuochi d’artificio rumorosi come fastidiosi e che ci sono „reazioni“ in alcuni animali, il Consiglio federale sottolinea che molti svizzeri associano positivamente i fuochi d’artificio a emozioni.

La nomina di Stefan Walter come nuovo direttore dell’Autorità di vigilanza sui mercati finanziari, la FINMA, figura anch’essa tra le decisioni importanti della sessione. Attualmente in servizio presso la Banca centrale europea a Francoforte, il tedesco di 59 anni è descritto dal Consiglio federale come avente una „vasta esperienza nella vigilanza dei mercati finanziari“.

Il governo prevede di affrontare l’indagine sulle fughe di notizie che hanno portato alla divulgazione sui media delle decisioni legate al coronavirus. In risposta all’indagine della Commissione di controllo del Parlamento, prevede di modificare la cosiddetta „Legge sull’organizzazione e la gestione“, consentendo così alle forze dell’ordine e ad altri di vedere chi ha esaminato un verbale di una riunione del Consiglio federale e di assicurarsi che non sia stato probabilmente trasmesso ai media o ad altri.

Inoltre, il governo prevede di redigere una nota informativa sulle fughe di notizie per i nuovi dipendenti dell’Amministrazione federale, al fine di rafforzare la loro sensibilità su questo problema. Le altre raccomandazioni del Parlamento sono considerate attuate.

Infine, il Consiglio federale approva l’uso dei doppi nomi per le persone sposate e consente ai bambini di portare il doppio nome dei loro genitori – che siano sposati o meno. Si prevede che i doppi nomi possano essere utilizzati in futuro con o senza trattino.

Il Consiglio federale presenta al Parlamento una bozza di legge elaborata a causa dell’adozione di una proposta che chiede la superiorità delle normative cantonali sui contratti di lavoro generali. Allo stesso tempo, il Consiglio federale invita il Parlamento a non accettare la bozza di legge a causa della sua opposizione a alcuni principi fondamentali del diritto svizzero. Risultato: Il Consiglio federale presenta oggi una bozza di legge e chiede contemporaneamente al Parlamento di respingerla.

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Sterbehilfe in der Schweiz: 11% Anstieg im Jahr 2023

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„Sterbehilfe in der Schweiz: 11% Anstieg im Jahr 2023, Exit Deutsche Schweiz gewinnt fast 20.000 neue Mitglieder“

Der Verein Exit Deutsche Schweiz gab bekannt, dass im vergangenen Jahr 1252 Mitglieder Sterbehilfe beantragten – ein Anstieg um 11 Prozent im Vergleich zu 2022. Der Verein verzeichnete auch fast 20.000 neue Mitglieder. Ende des letzten Jahres zählte der Verein 167.631 Mitglieder, was einem Zuwachs von 19.679 Menschen im Vergleich zum Vorjahr entspricht. Darüber hinaus machten 92.000 Mitglieder von der Möglichkeit Gebrauch, ihre Patientenverfügung über diese Organisation zu hinterlegen.

Der Anstieg der Nachfrage nach Sterbehilfe ist auf die immer älter werdende Gesellschaft und die damit verbundenen schweren Krankheiten oder Behinderungen zurückzuführen. Das Durchschnittsalter der begleiteten Menschen wurde auf 80,7 Jahre bei Frauen und 79 Jahre bei Männern festgelegt.

Ein weiteres bemerkenswertes Ergebnis der Studie war, dass bei 31 Prozent der Sterbenden eine terminale Krebserkrankung diagnostiziert wurde, was 392 begleiteten Personen entspricht. Es wurde auch darauf hingewiesen, dass immer mehr ältere Menschen mit multiplen Gesundheitsproblemen den selbstbestimmten Tod wählen. Wie im Vorjahr bevorzugten Frauen (759) im Vergleich zu Männern (493) den Freitod.

Exit Deutsche Schweiz, als zentraler Verein für Sterbehilfe in der Schweiz, spielt eine bedeutende Rolle in der ethischen und rechtlichen Unterstützung seiner Mitglieder bei ihrem selbstbestimmten Ende.

En français : „Assistance au suicide en Suisse : Augmentation de 11 % en 2023, Exit Deutsche Schweiz gagne près de 20 000 nouveaux membres“

L’association Exit Deutsche Schweiz a annoncé que l’année dernière, 1252 de ses membres ont demandé une assistance au suicide, soit une augmentation de 11 % par rapport à 2022. L’association a également enregistré près de 20 000 nouveaux membres. À la fin de l’année dernière, l’association comptait 167 631 membres, soit 19 679 de plus par rapport à l’année précédente. En outre, 92 000 membres ont utilisé la possibilité de déposer leur directive anticipée par le biais de cette organisation.

L’augmentation de la demande d’assistance au suicide est attribuée au vieillissement croissant de la société et aux maladies graves ou handicaps qui en résultent. L’âge moyen des personnes accompagnées a été fixé à 80,7 ans pour les femmes et 79 ans pour les hommes.

Un autre résultat notable de l’étude était que 31 % des personnes en fin de vie avaient reçu un diagnostic de cancer terminal, ce qui correspond à 392 accompagnements. On a également souligné que de plus en plus de personnes âgées présentant des problèmes de santé multiples choisissent la mort autodéterminée. Comme l’année précédente, les femmes (759) ont préféré le suicide par rapport aux hommes (493).

Exit Deutsche Schweiz, en tant qu’association centrale pour l’assistance au suicide en Suisse, joue un rôle crucial dans le soutien éthique et juridique de ses membres pour leur fin autodéterminée.

In italiano: „Assistenza al suicidio in Svizzera: Aumento dell’11% nel 2023, Exit Deutsche Schweiz guadagna quasi 20.000 nuovi membri“

L’associazione Exit Deutsche Schweiz ha annunciato che l’anno scorso 1252 dei suoi membri hanno richiesto l’assistenza al suicidio, registrando un aumento dell’11% rispetto al 2022. L’associazione ha anche guadagnato quasi 20.000 nuovi membri. Alla fine dell’anno scorso, l’associazione contava 167.631 membri, il che rappresenta un aumento di 19.679 persone rispetto all’anno precedente. Inoltre, 92.000 membri hanno utilizzato la possibilità di depositare il loro testamento biologico tramite questa organizzazione.

L’aumento della domanda di assistenza al suicidio è attribuito all’invecchiamento sempre maggiore della società e alle gravi malattie o disabilità che ne conseguono. L’età media delle persone accompagnate è stata fissata a 80,7 anni per le donne e 79 anni per gli uomini.

Un altro risultato degno di nota dello studio è che il 31% dei morenti aveva ricevuto una diagnosi di cancro terminale, corrispondente a 392 assistenze. Si è anche sottolineato che sempre più anziani con problemi di salute multipli scelgono la morte autodeterminata. Come l’anno precedente, le donne (759) hanno preferito il suicidio rispetto agli uomini (493).

Exit Deutsche Schweiz, in quanto associazione centrale per l’assistenza al suicidio in Svizzera, svolge un ruolo cruciale nel fornire sostegno etico e legale ai propri membri per la loro fine autodeterminata.

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„Europas neue Sex-Hauptstadt“? Zürich kontert britische Kritik

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Im Blickpunkt: Zürich

Die Stadt Zürich, bekannt für ihre kulturelle Vielfalt und liberale Einstellungen in der Schweiz, steht in den Schlagzeilen der britischen Presse, die sie als „Europas neue Sex-Hauptstadt“ bezeichnet. Die Zeitung „The Sun“ bringt den Anstieg der Sexindustrie in Zürich auf die Titelseiten und behauptet, die Stadt sei die „Europas neue Sex-Hauptstadt“.

Klare Reaktion der Zürcher Behörden

Die Zürcher Behörden reagieren entschieden auf diese Behauptungen und stellen den sozialen und rechtlichen Rahmen ihrer Stadt klar dar. Zürich hat eine lange Geschichte liberaler Sexpolitik und Sicherheitsmaßnahmen. Mit den rechtlichen Bestimmungen und Unterstützungsmechanismen für Sexarbeiterinnen betont Zürich seine soziale Verantwortung und setzt sich entschlossen für diese Anliegen ein.

Aussagen schutzbedürftiger Frauen und der Bericht von Thea Jacobs

Während Sexarbeiterinnen im Gebiet Langstrasse ein alltäglicher Anblick in der Stadt sind, hat der Bericht der britischen Zeitung ‚The Sun‘, in dem Zürich als ‚Europas neue Sex-Hauptstadt‘ bezeichnet wird, lokale Unterstützungspunkte gestört. Die Journalistin Thea Jacobs behauptet, dass schutzbedürftige Frauen von Banden ausgebeutet werden und gibt an, dass Menschenhandel besonders in Langstrasse verbreitet sei. Dabei handelt es sich jedoch nicht um einen legalen Bereich – es existiert keine zugewiesene Strichzone für Sexarbeit, wie sie in ihrem Bericht feststellt.

Die liberale Sexpolitik der Schweiz und die Situation in Zürich

Die Schweiz nimmt eine Position als eines der liberalsten Länder Europas ein, in dem sexuelle Dienstleistungen legal sind. Prostitution, Straßenprostitution, Sex-Saunen und Bordelle werden hier als legale Berufe anerkannt. Die britische Presse behauptet jedoch, dass Zürichs Sexindustrie mehr wert sei als die traditionelle Käseproduktion der Schweiz und verwendet dabei den Begriff „dunkle Seite“. Dies hat die Zürcher Behörden besonders gestört.

Die Bedingungen der Sexarbeiterinnen und Sicherheitsmaßnahmen

Der Bericht von Thea Jacobs konzentriert sich auf die Behauptung, dass schutzbedürftige Frauen unter schwierigen Arbeitsbedingungen leiden und Banden den Weg für illegale Betriebe ebnen. Doch Zürichs Stadtsprecherin Katharina Schorer weist darauf hin, dass die Stadt eine aktive Rolle im Kampf gegen Frauenhandel spielt und verschiedene Regelungen zur Unterstützung erlassen hat.

„Ich lebte in ständiger Angst“ – Die Rufe der Sexarbeiterinnen in Zürich

Thea Jacobs‘ Behauptungen

Gemäß dem eindringlichen Bericht der britischen Journalistin Thea Jacobs werden schutzbedürftige Frauen von Menschenhändlern dazu gezwungen, ihre Körper zu verkaufen und auf den Straßen zu arbeiten. Jacobs hebt hervor, dass der Fokus des Berichts auf Langstrasse liegt, einem Bereich ohne Straßenprostitution, und betont, dass Frauen, die auf den Straßen für Prostitution stehen, nicht als Sexarbeiterinnen bezeichnet werden sollten.

Der Kampf gegen die legale Sexarbeit in Zürich und dessen Folgen

Gemäß Jacobs‘ Behauptungen hat der Kampf gegen die legale Sexarbeit in Zürich den Weg für illegale Betriebe geebnet. Dieser Kampf gegen die gesetzlichen Bestimmungen scheint die Unregelmäßigkeiten in der Sexindustrie Zürichs verstärkt zu haben.

Aussagen der Sexarbeiterinnen

Die Journalistin hat sich in ihrem Bericht mit Sexarbeiterinnen getroffen, die über die schrecklichen Arbeitsbedingungen klagen. Eine Frau namens Elisa teilt ihre Qualen und Ängste: „Wenn ein Kunde Gewalt anwendet, war mein Handy immer bei mir. Von hundert Kunden zeigte vielleicht einer ein wenig Respekt. Nach einer Weile lebte ich regelrecht in einem Albtraum.“ Andere Sexarbeiterinnen berichten von perversen Männern mit animalischen Trieben oder Vätern, die mit ihren Söhnen kommen.

Der ökonomische und soziale Kontext Zürichs

Laut Katharina Schorer, der Sprecherin des Sicherheitsdepartements von Zürich, spielt die Stadt eine aktive Rolle im Kampf gegen den Frauenhandel und bewertet die Situation in der Stadt ständig neu. Die Stadt betreibt das Beratungszentrum Flora Dora, um Unterstützung für Sexarbeiterinnen in der Straßenprostitution oder im Escortbereich in Zusammenarbeit mit verschiedenen NGOs zu bieten.

Der ökonomische Beitrag der Sexindustrie und die allgemeine Situation

Beatrice Bänninger, Leiterin des Fachzentrums „Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter Solidara“, hält den Bericht der Sun für problematisch. Sie betont, dass Zürich keine neue Sex-Hauptstadt ist und dass die Sexindustrie nur 0,5% des Bruttoinlandsprodukts des Landes ausmacht. Bänninger erklärt, dass der Bericht ein veraltetes und einseitiges Bild zeichnet und Verallgemeinerungen ungerecht sind.

Fazit und zukünftige Schritte

In diesem Sinne widerspricht Bänninger der Verallgemeinerung, dass Sexarbeiterinnen Opfer sind, und erklärt, dass viele Menschen freiwillig in dieser legalen Branche arbeiten und gegen ungerechtfertigte Anschuldigungen kämpfen müssen. Zürich setzt sich mit einem starken Standpunkt gegen die Vorwürfe ein und bemüht sich weiterhin, die wahre Situation der Stadt darzustellen.


Französisch: „Nouvelle capitale européenne du sexe“ ? Zurich répond aux critiques britanniques

En lumière : Zurich

La ville de Zurich, connue pour sa diversité culturelle et ses attitudes libérales en Suisse, fait la une de la presse britannique, qui la qualifie de „nouvelle capitale européenne du sexe“. Le journal „The Sun“ place l’essor de l’industrie du sexe à Zurich en première page et affirme que la ville est la „nouvelle capitale européenne du sexe“.

Réponse claire des autorités zurichoises

Cependant, les autorités zurichoises réagissent vivement à ces allégations et présentent clairement le cadre social et légal de leur ville. Zurich a une longue histoire de politique sexuelle libérale et de mesures de sécurité. Avec les dispositions légales et les mécanismes de soutien pour les travailleurs du sexe, Zurich souligne sa responsabilité sociale et s’engage résolument en faveur de ces questions.

Déclarations de femmes vulnérables et rapport de Thea Jacobs

Bien que les travailleurs du sexe dans le quartier de Langstrasse soient une vue quotidienne dans la ville, le rapport du journal britannique „The Sun“, qui qualifie Zurich de „nouvelle capitale européenne du sexe“, a perturbé les points de soutien locaux. La journaliste Thea Jacobs affirme que des femmes vulnérables sont exploitées par des gangs et déclare que la traite des êtres humains est particulièrement répandue à Langstrasse. Cependant, il ne s’agit pas d’une zone légale pour le travail du sexe.

La politique sexuelle libérale de la Suisse et la situation à Zurich

La Suisse occupe une position parmi les pays les plus libéraux d’Europe, où les services sexuels sont légaux. La prostitution, la prostitution de rue, les saunas sexuels et les bordels sont reconnus comme des professions légales. Cependant, la presse britannique affirme que l’industrie du sexe à Zurich vaut plus que la production traditionnelle de fromage suisse, utilisant le terme „côté sombre“. Cela a particulièrement contrarié les autorités zurichoises.

Conditions des travailleurs du sexe et mesures de sécurité

Le rapport de Thea Jacobs met l’accent sur l’affirmation selon laquelle des femmes vulnérables souffrent de conditions de travail difficiles et que des gangs ouvrent la voie à des entreprises illégales. Cependant, la porte-parole de la ville de Zurich, Katharina Schorer, souligne que la ville joue un rôle actif dans la lutte contre la traite des femmes et a mis en place diverses réglementations de soutien.

„Je vivais dans une peur constante“ – Les cris des travailleurs du sexe à Zurich

Les allégations de Thea Jacobs

Selon le rapport percutant de la journaliste britannique Thea Jacobs, des femmes vulnérables sont contraintes par des trafiquants à vendre leur corps et à travailler dans les rues. Jacobs souligne que le rapport se concentre sur Langstrasse, une zone sans prostitution de rue, et insiste sur le fait que les femmes qui se tiennent dans les rues pour se prostituer ne devraient pas être appelées travailleuses du sexe.

Lutte contre le travail sexuel légal à Zurich et ses conséquences

Selon les affirmations de Jacobs, la lutte contre le travail sexuel légal à Zurich a ouvert la voie à des entreprises illégales. Cette lutte contre les dispositions légales semble avoir renforcé les irrégularités dans l’industrie du sexe à Zurich.

Témoignages des travailleurs du sexe

La journaliste a rencontré des travailleurs du sexe qui se plaignent des conditions de travail épouvantables. Une femme nommée Elisa partage ses souffrances et ses peurs : „Si un client fait preuve de violence, mon téléphone était toujours avec moi. Parmi cent clients, peut-être un montrait un peu de respect. Au bout d’un moment, je vivais littéralement dans un cauchemar.“ D’autres travailleurs du sexe parlent d’hommes pervers aux pulsions animales ou de pères venant avec leurs fils.

Contexte économique et social de Zurich

Selon Katharina Schorer, porte-parole du département de la sécurité de Zurich, la ville joue un rôle actif dans la lutte contre la traite des femmes et évalue constamment la situation dans la ville. La ville gère le centre de conseil Flora Dora pour fournir un soutien aux travailleurs du sexe dans la prostitution de rue ou dans le secteur de l’escorte en collaboration avec diverses ONG.

Contribution économique de l’industrie du sexe et situation générale

Beatrice Bänninger, directrice du centre d’expertise „Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter Solidara“, juge le rapport du Sun problématique. Elle souligne que Zurich n’est pas une nouvelle capitale du sexe et que l’industrie du sexe ne représente que 0,5 % du produit intérieur brut du pays. Bänninger explique que le rapport donne une image obsolète et unilatérale et que les généralisations sont injustes.

Conclusion et prochaines étapes

Dans ce sens, Bänninger conteste la généralisation selon laquelle les travailleurs du sexe sont des victimes et explique que de nombreuses personnes travaillent volontairement dans ce secteur légal et doivent lutter contre des accusations infondées. Zurich défend fermement sa position contre les accusations et continue de s’efforcer de présenter la véritable situation de la ville.


Italienisch: „Nuova capitale europea del sesso“? Zurigo risponde alle critiche britanniche

In primo piano: Zurigo

La città di Zurigo, nota per la sua diversità culturale e le posizioni liberali in Svizzera, è sotto i riflettori della stampa britannica che la definisce „la nuova capitale europea del sesso“. Il giornale „The Sun“ mette in prima pagina la crescita dell’industria del sesso a Zurigo, sostenendo che la città sia la „nuova capitale europea del sesso“.

Risposta chiara delle autorità zurighesi

Le autorità di Zurigo reagiscono con decisione a queste affermazioni, presentando chiaramente il quadro sociale e legale della loro città. Zurigo vanta una lunga storia di politiche sessuali liberali e misure di sicurezza. Con le disposizioni legali e i meccanismi di sostegno per le sex worker, Zurigo sottolinea la sua responsabilità sociale e si impegna con determinazione per queste questioni.

Dichiarazioni di donne vulnerabili e il rapporto di Thea Jacobs

Nonostante le sex worker nell’area di Langstrasse siano una vista quotidiana in città, il rapporto del giornale britannico „The Sun“ che definisce Zurigo la „nuova capitale europea del sesso“ ha disturbato i punti di supporto locali. La giornalista Thea Jacobs sostiene che le donne vulnerabili sono sfruttate da bande criminali e afferma che il traffico di esseri umani è particolarmente diffuso a Langstrasse. Tuttavia, questa zona non è designata come un’area legale per il lavoro sessuale.

La politica sessuale liberale della Svizzera e la situazione a Zurigo

La Svizzera occupa una posizione tra i paesi più liberali d’Europa, dove i servizi sessuali sono legali. La prostituzione, la prostituzione di strada, le saune sessuali e i bordelli sono riconosciuti come professioni legali. Tuttavia, la stampa britannica afferma che l’industria del sesso a Zurigo vale più della produzione tradizionale di formaggio svizzero, utilizzando il termine „lato oscuro“. Questo ha particolarmente infastidito le autorità di Zurigo.

Condizioni delle sex worker e misure di sicurezza

Il rapporto di Thea Jacobs si concentra sull’affermazione che le donne vulnerabili soffrono di condizioni di lavoro difficili e che le bande aprono la strada a imprese illegali. Tuttavia, la portavoce di Zurigo, Katharina Schorer, sottolinea che la città svolge un ruolo attivo nella lotta contro il traffico di donne e ha introdotto varie normative a sostegno.

„Vivevo in una paura costante“ – Le grida delle sex worker a Zurigo

Le affermazioni di Thea Jacobs

Secondo il rapporto incisivo della giornalista britannica Thea Jacobs, le donne vulnerabili sono costrette dai trafficanti a vendere i loro corpi e a lavorare per strada. Jacobs sottolinea che il focus del rapporto è su Langstrasse, un’area senza prostituzione di strada, e insiste sul fatto che le donne che lavorano per strada non dovrebbero essere chiamate sex worker.

Lotta contro il lavoro sessuale legale a Zurigo e le sue conseguenze

Secondo le affermazioni di Jacobs, la lotta contro il lavoro sessuale legale a Zurigo ha aperto la strada a imprese illegali. Questa lotta contro le disposizioni legali sembra aver rafforzato le irregolarità nell’industria del sesso a Zurigo.

Dichiarazioni delle sex worker

La giornalista ha incontrato sex worker che si lamentano delle terribili condizioni di lavoro. Una donna di nome Elisa condivide le sue sofferenze e le sue paure: „Se un cliente usava la violenza, il mio telefono era sempre con me. Tra cento clienti, forse uno mostrava un po‘ di rispetto. Dopo un po‘, vivevo letteralmente in un incubo.“ Altre sex worker parlano di uomini perversi con pulsioni animali o di padri che arrivano con i loro figli.

Contesto economico e sociale di Zurigo

Secondo Katharina Schorer, portavoce del dipartimento della sicurezza di Zurigo, la città svolge un ruolo attivo nella lotta contro il traffico di donne e valuta costantemente la situazione nella città. La città gestisce il centro di consulenza Flora Dora per fornire supporto alle sex worker nella prostituzione di strada o nel settore dell’accompagnamento in collaborazione con varie ONG.

Contributo economico dell’industria del sesso e situazione generale

Beatrice Bänninger, direttrice del centro di competenza „Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter Solidara“, ritiene il rapporto del Sun problematico. Sottolinea che Zurigo non è una nuova capitale del sesso e che l’industria del sesso rappresenta solo lo 0,5% del prodotto interno lordo del paese. Bänninger spiega che il rapporto dipinge un’immagine datata e unilaterale e che le generalizzazioni sono ingiuste.

Conclusione e prossimi passi

In questo contesto, Bänninger contesta la generalizzazione secondo cui le sex worker sono vittime e spiega che molte persone lavorano volontariamente in questo settore legale e devono combattere contro accuse infondate. Zurigo difende fermamente la propria posizione contro le accuse e continua ad impegnarsi per presentare la vera situazione della città.

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WOZ-Mitarbeiter mit sexuellen Belästigungsvorwürfen konfrontiert

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WOZ-Mitarbeiter mit sexuellen Belästigungsvorwürfen konfrontiert Interne Regeln unzureichend! Untersuchung durch Juristin offenbart Schutzlücken für Angestellte

In Zürich ansässige Wochenzeitung (WOZ) sieht sich mit Anschuldigungen konfrontiert, wonach ein ehemaliger Mitarbeiter, während seiner Tätigkeit auf der Plattform „Republik“, mehrere Frauen sexuell belästigt haben soll. Nach Bekanntwerden hat die WOZ eine juristische Untersuchung in Auftrag gegeben.

Die unabhängige Untersuchung durch eine Juristin ergab, dass interne Regeln nicht ausreichend waren, um die Angestellten adäquat zu schützen. Es wurde festgestellt, dass der betreffende Journalist bis 2018 bei der WOZ beschäftigt war und später auf der „Republik“-Plattform ähnliche Vorwürfe sexueller Belästigung gegen sich hatte.

Die Vorfälle wurden am 24. August 2023 während der Radio-SRF-4-Sendung öffentlich gemacht. In Reaktion auf die Vorwürfe hat die WOZ eine unabhängige Untersuchung durch eine Juristin eingeleitet und den Mitarbeitern eine vertrauliche Meldestelle für „Verletzungen der persönlichen Integrität“ seit 2005 bis heute zur Verfügung gestellt.

Insgesamt wurden achtzehn Meldungen eingereicht, die größtenteils mit den öffentlich gemachten Vorwürfen übereinstimmten. Die Juristin empfiehlt eine Aufarbeitung der vergangenen Vorfälle sowie zusätzliche betriebliche Maßnahmen zum Schutz der persönlichen Integrität der Mitarbeiter.

Die Untersuchung zeigt, dass interne Regeln nicht ausreichend waren, um Verletzungen der persönlichen Integrität zu verhindern. Die WOZ plant die Einrichtung einer externen Meldestelle sowie Schulungen und Präventionsmaßnahmen. Zusätzlich entschuldigt sich die WOZ bei den Betroffenen, vor allem für die erlebte psychische Belastung und dafür, dass der Betrieb keine vertrauensvolle Unterstützung gewährleisten konnte.

Nach diesen Entwicklungen hat die WOZ zugesagt, die Vergangenheit aufzuarbeiten und weitere Maßnahmen zum Schutz der Mitarbeiter zu ergreifen.

Französisch: Employé de la WOZ accusé de harcèlement sexuel : Les règles internes jugées insuffisantes ! L’enquête d’un juriste révèle des lacunes dans la protection des employés

La semaine dernière, un ancien employé de la WOZ (Wochenzeitung), basé à Zurich, a été accusé d’avoir harcelé sexuellement plusieurs femmes lorsqu’il travaillait ultérieurement sur la plateforme „Republik“. Suite à ces révélations, la WOZ a mandaté un juriste pour mener une enquête approfondie.

L’examen indépendant effectué par le juriste a révélé que les règles internes n’étaient pas suffisantes pour protéger adéquatement les employés. Il a été mentionné que le journaliste en question avait travaillé à la WOZ jusqu’en 2018, puis avait été confronté à des accusations similaires de harcèlement sexuel lors de son emploi ultérieur à „Republik“.

Les faits ont été rendus publics le 24 août 2023 lors de l’émission Radio-SRF-4. En réponse aux accusations, la WOZ a lancé une enquête indépendante menée par un juriste et a mis en place un mécanisme confidentiel permettant aux employés de signaler des „atteintes à l’intégrité personnelle“ depuis 2005 jusqu’à aujourd’hui.

Au total, dix-huit signalements ont été enregistrés, correspondant en grande partie aux accusations rendues publiques. Le rapport du juriste recommande un examen des incidents passés ainsi que des mesures opérationnelles supplémentaires pour protéger l’intégrité personnelle des employés.

L’enquête révèle que les règles internes étaient insuffisantes pour prévenir les atteintes à l’intégrité personnelle. La WOZ envisage la création d’un mécanisme externe de signalement ainsi que des formations et des mesures de prévention. De plus, la WOZ présente des excuses aux personnes concernées, notamment pour la détresse psychologique subie et le manque de soutien fiable de l’entreprise.

Suite à ces développements, la WOZ s’est engagée à examiner le passé et à prendre des mesures supplémentaires pour protéger ses employés.


Italienisch: Dipendente della WOZ accusato di molestie sessuali: Regole interne ritenute insufficienti! L’indagine di un giurista rivela lacune nella protezione dei dipendenti

La scorsa settimana, un ex dipendente della WOZ (Wochenzeitung), con sede a Zurigo, è stato accusato di aver molestato sessualmente diverse donne durante il suo successivo impiego sulla piattaforma „Republik“. In seguito a queste rivelazioni, la WOZ ha incaricato un giurista di condurre un’indagine approfondita.

L’indagine indipendente condotta dal giurista ha rivelato che le regole interne non erano sufficienti per proteggere adeguatamente i dipendenti. Si è menzionato che il giornalista in questione aveva lavorato alla WOZ fino al 2018, poi aveva affrontato accuse simili di molestie sessuali durante il suo impiego successivo presso „Republik“.

Gli eventi sono stati resi pubblici il 24 agosto 2023 durante il programma Radio-SRF-4. In risposta alle accuse, la WOZ ha avviato un’indagine indipendente condotta da un giurista e ha istituito un meccanismo confidenziale che consente ai dipendenti di segnalare „violazioni dell’integrità personale“ dal 2005 fino ad oggi.

In totale sono stati registrati diciotto segnalazioni, in gran parte corrispondenti alle accuse rese pubbliche. La relazione del giurista raccomanda una revisione degli incidenti passati e ulteriori misure operative per proteggere l’integrità personale dei dipendenti.

L’indagine rivela che le regole interne erano insufficienti per prevenire le violazioni dell’integrità personale. La WOZ prevede di istituire un meccanismo esterno di segnalazione, nonché formazioni e misure preventive. Inoltre, la WOZ presenta scuse alle persone coinvolte, in particolare per lo stress psicologico subito e per la mancanza di un sostegno affidabile da parte dell’azienda.

A seguito di questi sviluppi, la WOZ si è impegnata a esaminare il passato e ad adottare ulteriori misure per proteggere i propri dipendenti.

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